Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La Princesse de Clèves
Des Femmes - EAN : 3328140020052
Édition papier
EAN : 3328140020052
Paru le : 29 déc. 2003
24,00 €
22,75 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 3328140020052
- Réf. éditeur : 498898
- Collection : LA BIBLIOTHEQUE
- Editeur : Des Femmes
- Date Parution : 29 déc. 2003
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : M
- Format : H:141 mm L:124 mm E:11 mm
- Poids : 108gr
- Résumé : À Madame de La Fayette, on ne doit pas seulement le premier roman d'analyse, mais une révolution des lettres françaises : pour la première fois, le coeur du roman, c'est la vie d'une femme, La Princesse de Clèves ; pour la première fois, dans la société aristocratique du XVIIe siècle, qui la réduit au silence, elle fait entendre sa voix intérieure. « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. » M.d.L.F.
- Biographie : Michèle Morgan (1920-2016), premier rôle féminin dans "Gribouille" (1937) de Marc Allégret à 17 ans et déjà magnétique, elle atteint d'emblée le statut de mythe l'année suivante aux côtés de Jean Gabin avec "Quai des brumes" de Marcel Carné, écrit par Jacques Prévert. Par refus de l'Occupation allemande, elle s'expatrie à Hollywood, puis revient en France à la Libération et remporte le 1er prix d'interprétation féminine au festival de Cannes pour "La Symphonie pastorale" (1946). Gérard Philipe lui donne la réplique dans "Les Orgueilleux" (1953) d'Yves Allégret et dans "Les Grandes Manoeuvres" (1955) de René Clair. En 1981, elle rend un hommage vibrant à "La Princesse de Clèves" en prêtant son timbre posé pour l'un des premiers livres parlants de La Bibliothèque des voix. Elle reçoit un César d'honneur pour son éblouissante carrière en 1992.