Le Bracelet d'émeraudes

Lulu - EAN : 9781716161551
Maurice Renard
Édition papier

EAN : 9781716161551

Paru le : 1 sept. 2021

19,06 € 18,07 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9781716161551
  • Réf. éditeur : 7388766
  • Editeur : Lulu
  • Date Parution : 1 sept. 2021
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 231
  • Format : H:229 mm L:152 mm
  • Poids : 347gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Maurice Renard (1875-1939) est Champenois. En 1905 il publie, sous le pseudonyme de Vincent St-Vincent, son premier recueil de contes fantastiques : Fantômes et Fantoches. Puis, en 1908, il signe de son nom un premier roman Le Docteur Lerne, Sous-Dieu, dédié à Wells. Ce livre merveilleusement hallucinant, qui obtient un certain succès, est bientôt suivi de deux autres volumes : Le Voyage Immobile, recueil de nouvelles, et Le Péril Bleu, superbe roman d'hypothèse. Dès lors Maurice Renard, théoricien du « merveilleux-scientifique », a sa place marquée dans le monde des lettres.En plus du Matin, Maurice Renard a toujours tenté de trouver d'autres débouchés pour ses productions littéraires. Il a ainsi tenté d'approcher la presse féminine. En 1932 se crée un nouveau journal féminin très moderne, Le Journal de la femme, dirigé par Raymonde Machard, et où Maurice Renard trouvera quelques débouchés, d'abord en y plaçant un conte refusé par Le Matin en août 1931, puis, à partir du 2 décembre 1933, le roman-feuilleton « Le bracelet d'émeraudes », illustré de 16 dessins de Jacques Touchet, roman policier avec pour héros, Francis Perlot, le dépanneur détective.Dans « Le Bracelet d'émeraudes », Maurice Renard se rapproche du réel, consacrant désormais sa pensée et l'expérience de son talent à cerner la vie dans tous ses aspects : sourires ou ruses, dévouements ou trahisons, amours ou haines, aventures... Une intrigue où palpitent l'amour, le crime et la peur... Des personnages que le public reconnaîtra comme siens pour avoir entouré leurs pareils de ses faveurs enthousiastes. Une étonnante peinture d'un milieu où la vie déborde de tous ses instincts, de toutes ses fantaisies, de tous ses drames : le Music-hall...L'angoissante question s'impose à l'esprit comme une obsession : « Qui, mais qui a volé le Bracelet d'émeraudes ? » Une intense curiosité vous entraîne sans qu'il soit possible de s'arracher à la séduction du récit. Des soupçons, des larmes... et ce pur amour qui monte et brille comme une flamme...Le roman est suivi de « Francis Perlot, le dépanneur détective. Police et enquête chez Maurice Renard » par Jean-Luc Buard, co-fondateur et rédacteur en chef du Rocambole, qui ajoute une esquisse d'inventaire des travaux illustrés de Jacques Touchet pour des collections d'aventures et une bibliographie des contes de Francis Perlot et du Commissaire Jérôme. Les contes policiers du cycle Francis Perlot de Maurice Renard sont aussi repris en fin de volume.
  • Biographie : Le professeur Krantz est une nouvelle de Maurice Renard parue en 1932. Extrait : C'est que, pour la première fois, le malheur se dressait devant mes yeux. Pour la première fois, la mort m'apparaissait dans sa toute-puissance dévastatrice, se préparant à me porter le coup le plus effroyable qui puisse abattre un homme. Albane, mourir ! Contre une idée si monstrueusement inadmissible, je sentais jouer en moi des réactions imprévues, vivre sous mon aspect un moi-même dont la souffrance avait changé les rythmes et, si je puis ainsi dire, modifié la composition. Maintenant, j'étais fait de ténèbres et de glace, et j'avais mal dans tout le corps et toute l'âme. La stupeur, la révolte, le désespoir et l'épouvante dominaient tour à tour ma vie intérieure, altérant mes pensées et mes sensations les plus insignifiantes. Aussi bien, n'y avait-il plus de place, dans mon esprit, que pour l'obsession funèbre tout ce qui n'était pas d'Albane et de la mort ne faisait qu'y passer, j'en repoussais l'importune distraction. Mon Albane, mourir, à l'âge où l'on est immortel !
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.