CONTES ET ARTICLES RETROUVÉS 1906-1943

Lulu - EAN : 9781716403941
Maurice Renard
Édition papier

EAN : 9781716403941

Paru le : 1 sept. 2021

35,34 € 33,50 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9781716403941
  • Réf. éditeur : 7389138
  • Editeur : Lulu
  • Date Parution : 1 sept. 2021
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 739
  • Format : H:229 mm L:152 mm
  • Poids : 1.07kg
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Maurice Renard (1875-1939) publie en 1905, sous le pseudonyme de Vincent St-Vincent, son premier recueil de contes fantastiques : Fantômes et Fantoches ; puis en 1908, sous son véritable nom, Le Docteur Lerne, Sous-Dieu, dédié à Wells. Ce livre merveilleusement hallucinant, qui obtient un certain succès, est bientôt suivi de deux autres volumes : Le Voyage Immobile, recueil de nouvelles, et Le Péril Bleu, magnifique roman d'hypothèse. Dès lors Maurice Renard, théoricien du « merveilleux-scientifique », a sa place marquée dans le monde des lettres. La qualité de son imagination, la valeur poétique de ses écrits lui attirent des amis et des admirateurs. Il fonde en 1911 La Vie Française, revue des poètes et donne en 1913 un nouveau recueil de contes singuliers : Monsieur d'Outremort. Mobilisé, il ne rentre dans son silencieux appartement de la rue de Tournon que le 6 janvier 1919. Jusqu'ici Maurice Renard, gentilhomme des lettres et enchanteur avait vécu pour écrire. En 1919 il s'agit d'écrire pour vivre. Il se met à la besogne et publie Les Mains d'Orlac, L'Homme truqué, Le Singe, Lui ?, L'Invitation à la peur, tout en collaborant à de nombreux journaux et revues.En 1912-1914 puis de 1924 à 1939, il livre au journal Le Matin quelques 559 contes réunis ici pour la première fois en 3 fort volumes. Deux autres recueils complètent cette Intégrale des contes et nouvelles de Maurice Renard. Brian Stableford, écrivain, essayiste et traducteur du français préface ce quatrième volume consacré aux contes et articles de la période 1906-1943 tandis que Jean-Luc Buard, co-fondateur et rédacteur en chef du Rocambole, le termine avec un guide de lecture et une bibliographie des articles publiés.Ouvrez un de ses volumes. Dès les premières lignes, on est conquis. Par une sorte de maîtrise impérieuse mais sans violence, l'auteur vous enlève avec lui, vous fait, comme en un voyage à bord d'un avion, planer par-dessus les médiocrités de la vie courante. On découvre des horizons inattendus. Ce qui n'est pas encore, il vous le fait percevoir. Il est le prospecteur du futur. Ses prophéties sont fondées sur des déductions incontestables. Il est aussi le poète du raisonnement. Il passe insensiblement de la logique au lyrisme. On s'en aperçoit à peine tant la transition est bien exécutée. À chaque volume, Maurice Renard, qui ne craint pas la panne, vous offrira, dans des régions inexplorées, un voyage magnifique et délicieux.
  • Biographie : Le professeur Krantz est une nouvelle de Maurice Renard parue en 1932. Extrait : C'est que, pour la première fois, le malheur se dressait devant mes yeux. Pour la première fois, la mort m'apparaissait dans sa toute-puissance dévastatrice, se préparant à me porter le coup le plus effroyable qui puisse abattre un homme. Albane, mourir ! Contre une idée si monstrueusement inadmissible, je sentais jouer en moi des réactions imprévues, vivre sous mon aspect un moi-même dont la souffrance avait changé les rythmes et, si je puis ainsi dire, modifié la composition. Maintenant, j'étais fait de ténèbres et de glace, et j'avais mal dans tout le corps et toute l'âme. La stupeur, la révolte, le désespoir et l'épouvante dominaient tour à tour ma vie intérieure, altérant mes pensées et mes sensations les plus insignifiantes. Aussi bien, n'y avait-il plus de place, dans mon esprit, que pour l'obsession funèbre tout ce qui n'était pas d'Albane et de la mort ne faisait qu'y passer, j'en repoussais l'importune distraction. Mon Albane, mourir, à l'âge où l'on est immortel !
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.