Ivan Illich

Seuil - EAN : 9782021432022
Jean-Michel Djian
Édition papier

EAN : 9782021432022

Paru le : 3 sept. 2020

19,00 € 18,01 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782021432022
  • Réf. éditeur : SEL109585
  • Collection : DOCUMENTS (H.C)
  • Editeur : Seuil
  • Date Parution : 3 sept. 2020
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 240
  • Format : H:221 mm L:145 mm E:22 mm
  • Poids : 332gr
  • Résumé :

    Nul doute que, en nos temps troublés, les idées d’Ivan Illich vont prendre un nouveau relief. Il y eut deux avertissements solennels en 1970 pour dévoiler cette course folle entraînant l’humanité vers le pire : le rapport Meadows sur la dégradation extérieure de la planète, et celui d’Ivan Illich dénonçant la dégradation intérieure de notre civilisation.

    J’avais, moi-même, dans les années 70, été frappé par sa manière toute nouvelle de transgresser les idées reçues sur l’école, l’hôpital, les transports, pour mieux nous prévenir de leurs contre-effets, lesquels me sont apparus de plus en plus avérés. Alors que la société industrielle et consumériste avait trouvé son rythme, il fallait en effet quelque audace pour prévenir des effets pervers de la croissance et du pillage de la planète. On se souviendra aussi qu’on lui doit d’avoir prôné le mot « convivialité », si peu usité à l’époque. Ce n’est donc que justice d’exhumer son œuvre et son destin en consacrant à Ivan Illich ce récit biographique inédit.

    J’en suis d’autant plus heureux que l’occasion m’avait été donnée de permettre à mon ami Jean-Michel Djian, à l’époque rédacteur en chef du Monde de l’Éducation, de rencontrer l’auteur d’Une société sans école, en 1999, à Cuernavaca. Ensemble, nous avions, cette année-là et pour longtemps, créé le prix Le Monde de la recherche universitaire pour justement sortir des sentiers battus de la pensée et primer des thèses dépassant les clôtures disciplinaires.

    Nous devons, en effet, comprendre une fois pour toutes qu’il nous faut relier les savoirs et la connaissance pour penser une nouvelle voie, mais aussi abandonner le mythe de l’homme maître de son destin et de la nature pour, ensemble, l’explorer.

    Edgar Morin

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.