Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La bataille d'Alger
EAN : 9782035836649
Paru le : 31 mai 2021
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782035836649
- Réf. éditeur : 5587159
- Collection : L'HISTOIRE COMM
- Editeur : Larousse
- Date Parution : 31 mai 2021
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 256
- Poids : 360gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
"Chasse à l'homme!", titre l'Echo d'Alger le 25 décembre 1956. En cette fin d'année, le FLN lance une série d'attentats sanglants dans la capitale algérienne. Le 24, deux personnes sont tuées dans un bar, le 29, le maire de Boufarik, Amédée Froger, l'un des élus les plus actifs des Français d'Algérie, tombe sous les balles alors qu'il venait de prendre le volant de sa voiture. La bataille d'Alger commence avant que l'armée ne se voit confier la mission de rétablir l'ordre, en février 2007...
Pendant neuf mois, la ville blanche va vivre au rythme des contrôles, des fouilles, des arrestations, des interrogatoires musclés, voire des tortures et des exécutions sommaires. Cette bataille d'Alger, racontée par Jean Delmas qui en fut témoin en tant que capitaine du Génie, fait entrer la guerre d'Algérie dans une phase critique provoquant un fossé irrémédiable entre les deux communautés et une crise au sein de l'armée. Quant à l'opinion publique, elle se divise sur la prolongation d'une guerre où la terreur répond à la terreur... - Biographie : Jean Delmas, jeune étudiant en histoire, s'engage en juillet 1944, et participe aux opérations en Indochine, puis en Algérie (1956-67 et 1960-62) comme officier du Génie. Titulaire d'un doctorat en Histoire, il a enseigné à l'Ecole supérieure de guerre. Devenu général, il est nommé chef du service historique de l'Armée de terre (1980-1986), puis président de la Commission française d'histoire militaire.