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LE CID - SPECIAL COLLEGE
EAN : 9782035839169
Paru le : 27 août 2008
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- EAN13 : 9782035839169
- Réf. éditeur : 5575402
- Collection : PETITS CLASSIQU
- Editeur : Larousse
- Date Parution : 27 août 2008
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 176
- Format : 0.90 x 12.50 x 18.00 cm
- Poids : 170gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Rodrigue doit venger son père dans un duel avec le père de celle qu’il aime, Chimène. Il le tue ! Poursuivi par la justice du roi et la vengeance de sa bien-aimée, il engage le plus flamboyant des combats contre les ennemis du royaume afin de reconquérir son rang et son amour. Devenu le Cid, « le seigneur », Rodrigue est le type même du héros droit et victorieux. Ainsi, dans la tension de la langue de Corneille, se noue le dilemme entre tragédie et tragi-comédie, mais surtout…. entre honneur et amour.
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Biographie :
1606 - 1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629 ; la Galerie du Palais, 1632 - 1633 ; la Place Royale, 1633 - 1634 ; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie « régulière » (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643 ; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650). Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643 ; Rodogune, 1644 - 1645 ; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660). Revenu à la scène (Oedipe, 1659 ; Sertorius, 1662 ; Sophonisbe, 1663 ; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros « généreux » pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le « sublime », mais refuse le « tragique », puisqu'il est le fait d'êtres libres qui décident toujours de leur destin. (Académie française.)