CINNA

Larousse - EAN : 9782035850836
CORNEILLE PIERRE
Édition papier

EAN : 9782035850836

Paru le : 6 oct. 2010

3,95 € 3,74 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782035850836
  • Réf. éditeur : 5903745
  • Collection : PETITS CLASSIQU
  • Editeur : Larousse
  • Date Parution : 6 oct. 2010
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 224
  • Format : 1.10 x 12.50 x 18.00 cm
  • Poids : 210gr
  • Résumé : Rome sort à peine des guerres civiles. Pour en devenir le maître absolu, Auguste exerce la plus impitoyable cruauté et fait notamment exécuter Toranius. Pour le venger, la fille de celui-ci demande à Cinna de frapper le tyran. Cette belle histoire de sang pose la question du pardon et nous invite à une magnifique réflexion politique : comment faire reconnaître un nouveau pouvoir ?
  • Biographie :

    1606 - 1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629 ; la Galerie du Palais, 1632 - 1633 ; la Place Royale, 1633 - 1634 ; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie « régulière » (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643 ; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650). Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643 ; Rodogune, 1644 - 1645 ; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660). Revenu à la scène (Oedipe, 1659 ; Sertorius, 1662 ; Sophonisbe, 1663 ; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros « généreux » pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le « sublime », mais refuse le « tragique », puisqu'il est le fait d'êtres libres qui décident toujours de leur destin. (Académie française.)

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.