Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
ELOGE DU DESORDRE
Gallimard - EAN : 9782070240982
Édition papier
EAN : 9782070240982
Paru le : 13 oct. 1978
8,75 €
8,29 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070240982
- Réf. éditeur : A24098
- Collection : HORS SERIE LITT
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 13 oct. 1978
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 208
- Format : 1.70 x 14.00 x 20.50 cm
- Poids : 290gr
- Résumé : Lutter contre le désordre pour produire et maintenir un certain ordre dissipe beaucoup d'énergie et répond donc au problème général de la matière vivante toujours confrontée à un excès d'énergie. Une lecture "entropologique" des sociétés révèle la singularité de la nôtre, qui ne consume plus le surplus de richesses mais accumule le capital, qui ne s'oppose plus aux désordres en réactivant un ordre symbolique mais laisse proliférer une multitude d'appareils de normalisation. Impasse grandiose car l'industrialisation se heurte à des limites, éventuellement catastrophiques, et le contrôle social accède à un niveau de perfection mortel pour toute forme de socialité. Le constat, parfois sombre, esquissé ici n'est cependant pas un éloge funèbre mais plutôt une exhortation : éloge du désordre, mais d'un désordre qu'il ne faut pas laisser gérer par l'Autre, ni laisser passer sur le registre de la représentation où se perdent les différences réelles. Qu'il faut au contraire affronter directement, inlassablement, en refusant l'asile de la prise en charge qui est notre tentation.