Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
DISCOURS DE RECEPTION A L'ACADEMIE FRANCAISE ET REPONSE DE M. JULES ROMAINS
Gallimard - EAN : 9782070255603
Édition papier
EAN : 9782070255603
Paru le : 3 nov. 1960
2,90 €
2,75 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070255603
- Réf. éditeur : A25560
- Collection : BLANCHE
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 3 nov. 1960
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 104
- Format : 0.80 x 11.80 x 18.50 cm
- Poids : 105gr
- Résumé : Jean Rostand, ayant été élu à l'Académie française à la place laissée vacante par la mort d'Édouard Herriot, y est venu prendre séance le jeudi 12 novembre 1959 et a prononcé son discours de réception. Il a retracé la longue et brillante carrière de son prédécesseur, et ses multiples activités d'homme de lettres, de parlementaire, d'homme d'État et d'administrateur. Jules Romains, dans sa réponse, a rappelé la double vocation, à la fois scientifique et littéraire, de Jean Rostand. Il termine ainsi : "Ce qu'il y a de notable, chez vous, est que vous agacez bien rarement un lecteur même difficile. Vous ne cherchez pas l'originalité dans le paradoxe. Quand vous êtes amené à confirmer une observation déjà faite par tel de vos devanciers, vous ne vous en défendez pas ; mais elle prend une autorité et une saveur nouvelles par l'injection, si je puis dire, d'un argument ou d'une analogie que vous procure la science. Les propos du moraliste s'engrènent aux méditations de l'homme de laboratoire."