Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA CONQUETE DE ZANZIBAR
Gallimard - EAN : 9782070290376
Édition papier
EAN : 9782070290376
Paru le : 1 févr. 1980
9,90 €
9,38 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782070290376
- Réf. éditeur : A29037
- Collection : BLANCHE
- Editeur : Gallimard
- Date Parution : 1 févr. 1980
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 224
- Format : 1.60 x 14.00 x 20.50 cm
- Poids : 280gr
- Résumé : Le narrateur, un homme jeune, décide de partir pour Zanzibar. Pendant toute son enfance, il a rêvé de gloire, d'Afrique, de jazz, de cruauté. Il vient de se fiancer avec la fille d'un député-maire d'une ville du Sud-Ouest, Adèle. La jeune fille et sa famille s'inquiètent de cette idée fixe et tentent de le guérir. Mais le narrateur poursuit son rêve. Il exalte le souvenir d'Hercule, d'Alexandre, Hannibal, Gengis Khan, Cortez, Bugeaud, Tarzan, mais surtout du grand-père Zig, héros de célèbres albums illustrés qu'on lisait autrefois, ce grand-père Zig qui tentait sans fin de s'emparer de Zanzibar, capitale de l'Afrique. En ce temps-là, qui était celui de la bonne conscience du colonialisme, le narrateur, encore dans l'enfance, organisait lui aussi dans son village la conquête de l'Afrique. Certains gamins étaient les nègres, d'autres les blancs. Il y avait toutes sortes de batailles et de ruses directement inspirées des albums de Zig. Le narrateur s'enfonçant de plus en plus loin dans sa monomanie et ses préparatifs de reconquête finit par être interné dans un asile psychiatrique. Ce délire dont le thème revient comme celui d'une rhapsodie fait de ce roman-pamphlet une oeuvre à contre-courant, pleine de verve, et habitée par l'esprit d'enfance.