Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE FILS DU CIEL - CHRONIQUE DES JOURS SOUVERAINS
Flammarion - EAN : 9782080703774
Édition papier
EAN : 9782080703774
Paru le : 7 janv. 1993
5,90 €
5,59 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782080703774
- Réf. éditeur : S37847
- Collection : GF
- Editeur : Flammarion
- Date Parution : 7 janv. 1993
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 256
- Format : 1.30 x 10.80 x 17.80 cm
- Poids : 184gr
- Résumé : Avec son mélange de prose sacrée et de poèmes, son style qui est celui des oeuvres les plus ambitieuses, ce livre est une somme des diverses entreprises de Segalen. Magnifique exemple d'exotisme comme l'entendait le poète, il nous donne aussi une transcription taoïste du monde. Pathétique histoire d'un souverain écrasé par le glorieux passé, dévoré par sa recherche d'une identité nouvelle alors que tout lui renvoie l'image d'un être aussi éparpillé que le héros d'un film d'Orson Welles devant les mille miroirs brisés qui le cernent, traduction ambiguë d'une passion où les mots conduisent toujours à autre chose qu'eux-mêmes, suggestion allégorique enfin d'une vérité plus haute que le langage, tels sont les caractères d'une oeuvre dont on ne finit jamais d'épuiser le sens ou d'énumérer les multiples interprétations.
- Biographie : Né à Brest le 14 janvier 1878,Victor Segalen rencontre Huysmans, Saint-Pol Roux et Remy de Gourmont. Après des études de médecine, il séjourne à Tahiti puis à Pékin et rend visite à Claudel à Tien-Tsin. Rentré en France en 1918, il meurt à Huelgoat le 21 mai 1919 épuisé, semble-t-il, par une vie trop active.