Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Face au mur
Flammarion - EAN : 9782081279988
Édition papier
EAN : 9782081279988
Paru le : 2 mars 2012
19,50 €
18,48 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782081279988
- Réf. éditeur : S26323
- Collection : LITTERATURE FRA
- Editeur : Flammarion
- Date Parution : 2 mars 2012
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 368
- Format : H:210 mm L:136 mm E:25 mm
- Poids : 374gr
- Résumé : Cesare Battisti n'est pas un homme sans passé, contrairement au narrateur de son dernier livre dont on ne connaîtra jamais les raisons de la fuite. Mais c'est un grand écrivain. Ici, deux récits s'entremêlent : celui d'un homme en fuite qui raconte quelques mois passés à Rio dans l'ombre d'une femme ; et celui que ce même homme nous livre depuis la prison où il est incarcéré, un récit nourri des confessions de ses codétenus. Ce livre se lit comme un grand roman d'amour à suspense. Depuis son arrivée au Brésil, le narrateur se sait espionné. Il devine même que c'est la police qui a mis sur sa route la jeune et belle Janaïna, avec laquelle il noue une relation tout d'abord érotique. Puis l'amour s'invite entre eux comme un corps étranger. Et délibérément, le narrateur décide de continuer, de vivre cette histoire jusqu'au bout, quitte à y laisser sa peau. Cet amour, d'une beauté noire et mélancolique, résonne en nous : n'y-a-t-il pas des moments, dans une existence, où choisir de s'illusionner est une question de vie et de mort, en ce sens que seul l'aveuglement permet de se sentir enfin "vivant" ? C'est ce que Truffaut devait penser en tournant La Sirène du Mississipi...