Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA VIE ET L'OEUVRE DE SIGMUND FREUD. III - LES DERNIERES ANNEES, 1919-1939
PUF - EAN : 9782130556947
Édition papier
EAN : 9782130556947
Paru le : 11 mai 2006
20,50 €
19,43 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782130556947
- Réf. éditeur : 020316
- Collection : QUADRIGE
- Editeur : PUF
- Date Parution : 11 mai 2006
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 601
- Format : 2.70 x 12.50 x 19.00 cm
- Poids : 504gr
- Résumé : « Dans les années qui suivirent la Grande Guerre, on discutait beaucoup de Freud et de ses théories dans les milieux intellectuels anglais. Ils étaient, en fait, l'objet d'un culte important, d'une vogue, ce que les étudiants sérieux ne voyaient pas d'un bon oeil et nous fîmes de notre mieux pour nous en tenir à notre travail scientifique. » Durant ces années, les changements politiques de l'après-guerre affectèrent considérablement Freud, à la fois inquiet pour le devenir sa famille et dans ses relations avec ses disciples. Il se rendit très vite compte que ce qu'il appelait « le centre de gravité de la psychanalyse » devait être déplacé vers l'Ouest. E. Jones participa activement à la création et à l'organisation d'une association internationale, de congrès annuels puis d'une maison d'édition anglaise. Ce furent aussi des années de tensions et de ruptures avec certains disciples, de deuils familiaux éprouvants mais aussi d'échanges intellectuels fructueux. La montée du nazisme finit par emporter les ultimes réticences de Freud qui décida alors d'émigrer en Angleterre où il mourut un an plus tard.