Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
OSER DIRE LE MARIAGE INDISSOLUBLE
Cerf - EAN : 9782204067553
Édition papier
EAN : 9782204067553
Paru le : 26 sept. 2001
26,40 €
25,02 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782204067553
- Réf. éditeur : 773713
- Collection : RECHERCHES MORA
- Editeur : Cerf
- Date Parution : 26 sept. 2001
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Format : 1.80 x 13.50 x 21.50 cm
- Poids : 310gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Si certains traits de l'apport chrétien à l'éthique conjugale, telles l'importance accordée à la liberté de l'engagement ou la primauté reconnue à l'amour, sont en accord avec les évidences contemporaines, l'indissolubilité du mariage est au contraire un des points de contradiction majeurs entre le christianisme et les catégories les plus obvies de notre culture. Qu'un engagement puisse être définitif qu'un lien, né de la parole de deux sujets libres, ne puisse pas être rompu par ces mêmes sujets, cela dépasse les notions d'une philosophie du contrat, de l'épanouissement du moi et de la précarité. Assurément, notre culture est plus une culture de l'analyse, de la déliaison, de la dissolution qu'une culture du lien et de l'indissolubilité ! En d'autres termes, est-il bien raisonnable de publier un ouvrage sur l'indissolubilité en un temps et dans un pays où 38 % des mariages conduisent à un divorce ? La question clé de notre recherche est celle-ci : est-il possible de continuer à affirmer l'indissolubilité du lien conjugal dans le contexte d'une culture de la subjectivité ou, plus précisément, en assumant les acquis d'une philosophie et même d'une théologie de la personne et de la liberté ? Dans l'affirmative, la voie est alors celle d'une compréhension de l'indissolubilité qui ne repose pas seulement sur la primauté de l'institution ou sur une sacralisation des liens, mais qui découvre ou redécouvre, à travers le subjectif, ce qui est au-delà du subjectif. Si tout se joue dans l'interpersonnel, celui-ci plonge dans plus profond, plus large et plus réel que ce qui est senti, éprouvé, représenté. Vers les intrications inconscientes du lien, vers ses dimensions sociales et familiales, vers sa portée théologale et ecclésiale.