Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Une histoire du nationalisme corse
Dargaud - EAN : 9782205079906
Édition papier
EAN : 9782205079906
Paru le : 16 avr. 2021
25,50 €
24,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782205079906
- Réf. éditeur : DAR43496
- Editeur : Dargaud
- Date Parution : 16 avr. 2021
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 216
- Format : H:259 mm L:195 mm E:27 mm
- Poids : 824gr
- Résumé : Lors des élections territoriales en 2015, l'assemblée corse assiste pour la première fois à la victoire d'une liste nationaliste qui réunit plusieurs groupes autonomistes. Un coup de tonnerre qui ne relève en rien du hasard et qui réveille un sentiment profond d'identité corse qui s'est construit, souvent dans la violence, depuis bien longtemps. La journaliste Hélène Constanty revient sur ces événements et raconte, sous forme d'un véritable documentaire, les principales étapes qui ont abouti à cette situation - dont l'assassinat du préfet Erignac en 1998 - sur fond de règlements de comptes et de dérives parfois mafieuses d'un mouvement incontrôlable et lui-même divisé, le FLNC. Dessinateur, coloriste et metteur en scène de ce livre, Benjamin Adès signe, pour son premier album, pas moins de 208 pages sur lesquelles on découvre les nombreux protagonistes de cette histoire. Un véritable tour de force !
- Biographie : Benjamin Adès n'est pas né en Corse. Il n'a pas étudié les beaux-arts à l'Università di Corsica Pasquale Paoli. Le 6 février 1998, vers 21 heures, il n'était pas dans les environs d'Ajaccio (et il peut le prouver).