Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LES CENT MILLE CHANTS
Fayard - EAN : 9782213023113
Édition papier
EAN : 9782213023113
Paru le : 15 mars 1989
26,00 €
24,64 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782213023113
- Réf. éditeur : 3580834
- Collection : ESPACE INTERIEU
- Editeur : Fayard
- Date Parution : 15 mars 1989
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 332
- Format : 1.80 x 13.50 x 21.50 cm
- Poids : 374gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Dans ce deuxième volume des Cent Mille Chants, Milarépa, le célèbre maître spirituel du Tibet, énonce les instructions essentielles du bouddhisme et montre la voie tantrique qui permet de les réaliser en axant l'énergie sur l'expérience directe:
Je suis un homme étrange, un ermite vêtu de coton
Qui médite aux mois d'été dans les montagnes enneigées:
Le souffle vivifié purifie tous les brouillards du corps.
Aux mois d'automne je mendie des aumônes:
Rien de tel que de l'orge pour rendre la santé.
En hiver je médite dans les forêts profondes
Qui m'épargnent les attaques cinglantes de la bise.
Au printemps je demeure par prairies et collines
Et me libère ainsi du flegme et de la bile.
Hiver ou été, qu'importe la saison pourvu que je médite,
Prévenant par là les affres de la décrépitude.
Une attention constante et sans agitation
Permet de dominer les cinq passions nocives.
La traduction du premier volume des Cent Mille Chants de Milarépa, le poète ermite tibétain du XIe siècle, a reçu le prix Alexandra David-Néel 1987.
" Marie-José Lamothe a donné le premier volume de la traduction la plus belle que l'on puisse concevoir de Milarépa " (Claude Roy, Le Nouvel Observateur).
" Un traité de renoncement où passe le souffle des grands espaces himalayens " (Jean Chalon, Le Figaro).
" Quelle vie, quelle énergie, quelle jouvence en ces chants!... Voilà Milarépa: un embrasseur d'éveil au pays des glaciers " (Jacques Lacarrière, Le Monde)