Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Jérémie, reviens !
DDB - EAN : 9782220064697
Édition papier
EAN : 9782220064697
Paru le : 20 sept. 2012
16,00 €
15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782220064697
- Réf. éditeur : 1838072
- Collection : ESSAIS/SPIRITUA
- Editeur : DDB
- Date Parution : 20 sept. 2012
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 152
- Format : H:210 mm L:140 mm E:12 mm
- Poids : 182gr
- Résumé : Menace écologique, vertige de la consommation, disparités entre les peuples, crises financières, violences de toutes sortes... Il court sur notre monde un vent de catastrophe qui attise les peurs et assombrit notre avenir. Ne sommes-nous pas revenus au fond à ces temps tourmentés de la Bible, quand le prophète Jérémie apostrophait ses contemporains pour les inviter à changer de vie, à se convertir enfin ? Evêque de Cayenne en Guyane, l'ancien "curé de Soweto" relaie aujourd'hui le cri du prophète et médite ses écrits en lien avec la situation présente. Grand connaisseur des pays du sud, Mgr Emmanuel Lafont s'indigne en particulier face à la misère qui continue de frapper ceux-ci, comme il le constate auprès de jeunes de Guyane, notamment, livrés au chômage ou à la désespérance. Allons-nous attendre un chaos irréversible pour nous ressaisir enfin ? Reviens, Jérémie, ils sont devenus fous !
-
Biographie :
Évêque à Cayenne, Emmanuel Lafont, né le 26 octobre 1945 à Paris, a été curé à Soweto, où il vécut onze ans de 1983 à 1994. Il était l'un des rares Blancs dans l'immense township de Johannesbourg. Il sous-tend l'histoire de l'apartheid dans son époque la plus convulsive, prenant une part active aux actions de libération du peuple noir en Afrique du Sud. Parfois aux côtés de Mandela, plus souvent de Mrg Desmond Tutu, toujours au milieu des miséreux de Soweto, ses paroissiens, il a risqué sa vie au quotidien.
Son nom en bout d'Afrique est Senatla, « l'homme fort ». Le 27 avril 1994, varchar(50) du « big day » (l'élection de Mandela), son église, Saint-Philippe Néri, quartier Moletsane, est transformée en bureau de vote. Manu donne la messe en zoulou et en sotho ! Il finit son temps sud-africain en s'occupant des enfants des rues dans les townships de Pretoria, la capitale du pays... Puis il deviend évêque à Cayenne où son parcours sowetan lui sert, dans les profondeurs de la Guyane, à se rapprocher des descendants d'esclaves africains et, aussi des Amérindiens.
Il est un mélange de Gandhi et de l'abbé Pierre. Un non-violent terriblement actif. Toujours à l'écoute de l'Autre.