Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA DEMOCRATIE ET LE MARCHE
Grasset - EAN : 9782246663911
Édition papier
EAN : 9782246663911
Paru le : 14 janv. 2004
12,90 €
12,23 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782246663911
- Réf. éditeur : 3771748
- Collection : COLLEGE DE PHIL
- Editeur : Grasset
- Date Parution : 14 janv. 2004
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 112
- Format : 0.00 x 11.80 x 18.80 cm
- Poids : 103gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Aujourd'hui, le credo officiel des « progressistes » de tous bords (gauchistes, altermondialistes, etc) consiste à tenir pour évident le fait que l'économie de marché serait, par nature, ennemie de la justice sociale. De la même façon, les « libéraux » semblent convaincus que, bien souvent - toujours ? - la recherche de la justice sociale serait, à l'heure de la mondialisation, un obstacle à l'efficacité économique. C'est pour en finir avec cette « antinomie de la raison économique » que Jean-Paul Fitoussi a écrit ce texte, où il démontre avec vigueur et rigueur, la théorie suivante : pour lui, les sociétés les plus solidaires ne sont pas, au contraire, les moins performantes. Et il soutient donc que ce n'est pas l'ouverture des pays aux échanges internationaux qu'il s'agit de remettre en cause ( au nom de la « justice »), mais bien plutôt le discours de légitimation d'un capitalisme libéral (lequel considère la démocratie comme un obstacle au développement). Jean-Paul Fitoussi propose alors que l'on s'attelle à une tache urgente : penser, non plus l'opposition de l'économie de marché et de la démocratie, mais les conditions en vertu desquelles l'articulation des deux pourra se faire au bénéfice d'une réaffirmation des droits du politique, sous l'égide de ce qu'il appelle « la démocratie de marché ».