UNE JUVENILE FUREUR - BONNIER DE LA CHAPELLE, L'ASSASSIN DE L'AMIRAL DARLAN

Perrin - EAN : 9782262076900
VERGEZ-CHAIGNON B.
Édition papier

EAN : 9782262076900

Paru le : 26 sept. 2019

24,00 € 22,75 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782262076900
  • Réf. éditeur : 715079
  • Editeur : Perrin
  • Date Parution : 26 sept. 2019
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 458
  • Format : 3.40 x 15.00 x 22.50 cm
  • Poids : 585gr
  • Résumé : Le garçon qui tua l'amiral Darlan

    L'amiral Darlan, ancien chef du gouvernement de Vichy, haut-commissaire de la France en Afrique, est assassiné à Alger, le 24 décembre 1942, par Fernand Bonnier de la Chapelle, fusillé le surlendemain. Le nom du meurtrier se retrouve au détour de tous les ouvrages traitant des événements de la Seconde Guerre mondiale. Il est le prototype de l'illustre inconnu qui, agent supposé inconscient d'un complot qui le dépasse, entre abruptement dans l'Histoire pour en sortir aussitôt.
    De fait, que sait-on de lui ? Il avait 20 ans. On dit qu'il aurait appartenu aux Chantiers de la jeunesse ou aux Corps francs d'Afrique. On répète qu'il était royaliste – sa particule semble corroborer ces opinions monarchistes. Seulement, Fernand Bonnier de la Chapelle n'appartenait plus aux Chantiers de la jeunesse et il n'a jamais fait partie des Corps francs d'Afrique. Sa particule n'est qu'un leurre et " dans ses veines, écrira son père, ne coulait que le sang rouge des vrais républicains ".
    Issu d'une famille aventureuse, mais éduqué au sein d'une bourgeoisie fortunée et progressiste, Fernand Bonnier de la Chapelle n'eut, à partir de la défaite de 1940, qu'un rêve : partir en Angleterre pour se battre et faire quelque chose de grand. Un rêve sans cesse empêché qui devait le conduire à rencontrer tout autrement sa destinée, la veille de Noël 1942.
    À l'aide d'archives totalement inédites, Bénédicte Vergez-Chaignon, tenant son public en haleine de bout en bout, retrace pour la première fois le parcours de celui dont le général de Gaulle écrivit qu'il avait agi soulevé par une " juvénile fureur ".

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.