Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
REVES ET CULBUTES
EAN : 9782351251911
Paru le : 2 sept. 2021
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782351251911
- Réf. éditeur : 761977
- Date Parution : 2 sept. 2021
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 295
- Format : 2.70 x 8.60 x 27.20 cm
- Poids : 366gr
-
Résumé :
Membre du Grand Jeu, proche des surréalistes, Maurice Henry (1907-1984) est poète, journaliste, scénariste puis dessinateur d'humour. De 1956 à 1960, il livre au Figaro des gags en trois images : histoires de couples, de bagarres ou de voitures, petits tracas domestiques ou drames existentiels, chaque dessin raconte les grandeurs et misères de la condition humaine.
Poète, journaliste et dessinateur de presse, Maurice Henry (1907-1984) est un de ces artistes qui déjoue les biographies et les tentatives de classification. Membre du Grand Jeu, proche des surréalistes, il publie dans Bizarre en même temps qu'il fait carrière comme gagman pour le cinéma.
Il fait paraître, entre juin 1956 et janvier 1960, près de 170 histoires dans le Figaro. Ces gags sans paroles composés en trois cases sont baptisés " Rêves et Culbutes ". Ils appartiennent au genre de la bande dessinée, qui partage dès ses origines un style et une thématique communs au dessin animé et au cinéma burlesque. L'intitulé indique le ressort principal de ces gags : il s'agit de faire appel à l'onirisme pour convoquer des situations farfelues dont la résolution, dite la chute, ressemble aux culbutes inattendues et drolatiques des clowns. Des hommes se castagnent, des voitures s'emboutissent, des couples s'assomment, des policiers courent après des voleurs. On croit savoir à quoi s'attendre, mais Maurice Henry nous réserve toujours une échappée vers le rêve ou l'absurde. Sous leur air débonnaire et naïf, entretenu par un graphisme dépouillé, ces images sont le pendant dessiné - en plus tendre - des Nouvelles en trois lignes de Félix Fénéon : elliptiques mais éloquentes, à fois drôles et féroces, elles témoignent d'une époque, les années 1950, autant que d'une condition humaine intemporelle.