JOB A LA COUR DES COMPTES OU UNE JUSTICE DE CONNIVENCE

Baudelaire - EAN : 9782355089121
VERRAX ERIC
Édition papier

EAN : 9782355089121

Paru le : 4 oct. 2021

20,99 € 19,90 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782355089121
  • Réf. éditeur : 1255592
  • Editeur : Baudelaire
  • Date Parution : 4 oct. 2021
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 260
  • Poids : 418gr
  • Résumé : Dépenser l'argent public selon ses désirs et ses ambitions conduit bien des élus à s'affranchir des règles traditionnelles de prudence et d'économie. Les juges des comptes sont normalement là pour y mettre bon ordre. Mais des déficits publics toujours moins maîtrisés prouvent l'inefficacité du système. C'est d'abord que la justice des comptes est une justice de connivence, qui ne cherche pas à responsabiliser les élus qu'elle contrôle. Et malheur à celui qui veut aller plus loin ! L'Institution se rebiffe contre le magistrat trop légaliste, l'intimide en se servant de la justice pénale comme de la pression médiatique, sans être elle-même très à cheval sur les principes juridiques... Les analyses issues des travaux de René Girard sur la rivalité mimétique éclairent ce processus et dévoilent des pistes pour en sortir. Ancien élève de l'ENA et commissaire de police (section financière de la police judiciaire) l'auteur est premier conseiller de Chambre Régionale des Comptes, en disponibilité. La France est le seul pays qui conjugue une armature étatique solide et un contrôle des comptes à la fois millénaire, hiérarchisé et judiciarisé avec une pression fiscale, des dépenses et des déficits publics gigantesques : pourquoi si peu d'efficacité ? Parce que la justice des comptes, rendue par la Cour et les Chambres des comptes, est d'abord une justice de connivence, qui cherche moins l'efficacité de ses contrôles que sa propre pérennité. Et quand l'auteur, premier conseiller de Chambre, tente de briser ce cercle infernal, il subit le sort de Job, figure emblématique du bouc émissaire, condamné à chercher l'origine de sa disgrâce audelà des lois et des faits. Un témoignage édifiant.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.