La face cachée des dômes

Rebelle - EAN : 9782365381376
FEUGNET ANNE
Édition papier

EAN : 9782365381376

Paru le : 18 déc. 2013

19,90 € 18,86 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782365381376
  • Réf. éditeur : FCD
  • Editeur : Rebelle
  • Date Parution : 18 déc. 2013
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 392
  • Format : H:210 mm L:150 mm E:15 mm
  • Poids : 495gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : La France, 26e siècle.Une trentaine de militaires qui ont survécu à l'extermination de la vie humaine et animale par des fanatiques religieux vivent dans des dômes artificiels.Deux mondes où l'argent n'existe plus, où chacun est égal en droits. Mais où toute liberté a disparu ; les hommes et les femmes vivent séparément et n'ont aucun rapport depuis longtemps.Antaldys, jeune mère porteuse non volontaire, va se rebeller contre le système qui l'oblige à abandonner son fils aux hommes. De son côté, Ethan, jeune homme frustré par une vie ennuyeuse qu'il n'a pas choisie, n'a trouvé d'autre moyen que de devenir père pour échapper à son destin.Antaldys et Ethan vont braver les interdits, découvrir de monstrueux secrets cachés par leurs dirigeants.La situation va leur échapper. mais cela en vaut-il peut-être la peine ?
  • Biographie : Poisson d'avril oblige, j'ai fait courir ma mère à la maternité de Rochefort sur Mer le 1er avril de l'année 1964, pour y naître seulement le lendemain. Je suis arrivée à La Rochelle à l'âge de 4 ans et je n'ai jamais pu quitter ma ville bien longtemps tant je m'y sens bien. Très tôt, j'ai baigné dans le monde de la littérature et de la musique grâce à mon père qui rêvait de devenir écrivain, m'a appris le piano et donné le goût de l'écriture. Dès que j'ai su mettre un mot devant l'autre, même avec des fautes partout, j'ai inventé des histoires et écrit des poèmes. J'ai vécu près d'un cimetière jusqu'à l'âge de 10 ans et mon grand plaisir était d'y donner rendez-vous aux autres enfants du quartier, les soirs d'été, pour leur raconter des histoires horribles de revenants. J'y croyais tellement moi-même que ma mère devait vérifier chaque soir si un monstre ne se cachait pas derrière les rideaux de ma chambre. Et des cauchemars qui en suivaient, j'inventais d'autres histoires encore plus terrifiantes ! Bien plus tard, confrontée au monde réel, il m'a fallu travailler. Le destin m'a alors amené au ministère de la défense, que j'appelle parfois par dérision le finistère de la démence, où j'exerce encore aujourd'hui les fonctions peu réjouissantes de rédactrice dans un bureau contentieux. Mais les mots utilisés dans mes « mémoires » sont bien trop sinistres et encrés dans la réalité pour me satisfaire, alors dès que j'en ai terminé de mes journées d'esclave moderne, je m'évade dans les méandres de mon imagination fertile.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.