Corail de feu - Poésie - Danielle Bertrand Laget

Plumes Ocris - EAN : 9782367280295

LAGET DANIELLE

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Édition papier

EAN : 9782367280295

Paru le : 28 nov. 2021

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Détails

EAN13 : 9782367280295
Réf. éditeur : EDI041
Collection : POESIE
Editeur : Plumes Ocris
Date Parution : 28 nov. 2021
Disponibilite : Epuisé
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 104
Format : H:210 mm L:148 mm E:7 mm
Poids : 200gr

Résumé

Résumé : Comme la plupart des poètes, elle porte en elle cette poésie innée propre au regard de l’enfant devant le merveilleux de l’existence. Fille de Bourgogne, mais dans un style libre et aisé qui lui est propre, animée d’un feu intérieur d’une femme passionnée, ce dont témoignent entre autres ses poèmes « Tango » et « Feu de dieu », elle exprime le trouble de la mélancolie humaine nous parlant de l’ amour :
« Je t’ai tant aimé mon étrange ami, aujourd’hui les cristaux gèlent mes nuits… »
Et de la nostalgie : « mon cœur s’est cassé
le ressort trop tendu - s’est rompu - Souviens toi…- Tu es mon regret - Mon secret ! »
Avec toujours, cette volonté d’assumer et de rebondir.
Elle erre sur « Le chemin du destin » dans l’espérance d’y retrouver son défunt fils Thierry, décédé à 32 ans. Une plaie toujours saignante en son cœur de mère, dont elle ne se remettra jamais.
« Chaque matin cette angoisse revient qui noie mes yeux et dilue mes pensées…Je regarde le ciel et j’ai l’espoir que peut-être ton regard sourit vers moi » Sentiment dans lequel se reconnaîtront toutes mères frappées cruellement par ce même destin.
Extrait de la préface de Roger-André Halique
Biographie : Née à Chalon sur Saône le 12 mars 1940, l’enfant d’instituteurs a grandi au milieu des livres.

Après une école d’infirmière et une capacité en droit, elle choisit d’être auxiliaire-puéricultrice pour se consacrer aux enfants. Comme la plupart des poètes, elle porte en elle cette poésie innée propre au regard de l’enfant devant le merveilleux de l’existence. A l’égal de Marie Noël, elle-même fille de Bourgogne, mais dans un style libre et aisé qui lui est propre, animée d’un feu intérieur d’une femme passionnée, ce dont témoignent entre autres ses poèmes « Tango » et « Feu de dieu », elle exprime le trouble de la mélancolie humaine nous parlant de l’ amour et de la nostalgie :
Avec toujours, cette volonté d’assumer et de rebondir.
Elle erre sur « Le chemin du destin » dans l’espérance d’y retrouver son défunt fils Thierry, décédé à 32 ans. Une plaie toujours saignante en son cœur de mère, dont elle ne se remettra jamais.
« Chaque matin cette angoisse revient qui noie mes yeux et dilue mes pensées…Je regarde le ciel et j’ai l’espoir que peut-être ton regard sourit vers moi » Sentiment dans lequel se reconnaîtront toutes mères frappées cruellement par ce même destin.

Danielle Laget se dévoue à la poésie dans un sacerdoce qui l’honore. Après une grave opération, elle se consacre à diverses associations : Présidente de « l’Association Poétique A mots ouverts » … Présidente de « Janimaville », elle fait partie du Conseils des Aînés dans la Commission Culture et Loisirs de sa municipalité de Villefranche sur Saône .C’est à la suite de la mort tragique de son fils survenue en 1998 qu’elle va lui consacrer un premier recueil : « Il fut. Il est » qui sera suivi de « Abeilles » aux Editions Jacques-André de Lyon et de « Sensualités » aux Editions Manoirante de Annecy.
Extraits de la préface de Roger-André Halique
Lauréat et membre de la Société Académique Arts-Sciences-Lettres