QUELQUE CHOSE QUE JE RENDS A LA TERRE

Publie Net - EAN : 9782371776104
MENARD SEBASTIEN
Édition papier

EAN : 9782371776104

Paru le : 10 févr. 2021

15,00 € 14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782371776104
  • Réf. éditeur : 2884803
  • Collection : L'ESQUIF
  • Editeur : Publie Net
  • Date Parution : 10 févr. 2021
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 144
  • Format : 0.80 x 13.30 x 20.30 cm
  • Poids : 156gr
  • Résumé : « Or je suis le bois de Koby ka. Je suis le bois de Koby ka et ces pages sont à la forêt au carbone aux mousses et aux bêtes. Ces pages sont aux errants aux cailloux aux poussières et à l'humus. Elles sont à la pourriture ligneuse, aux lichens, lichens aux rongeurs. Ces pages sont aux noms des bois à ceux des forêts tout autant qu'aux innommés. Ces pages sont aux bruyères aux fougères aux tourbes et aux lombrics. Elles sont aux terriers. Elles sont à l'irrégularité. À l'imprévu. Au perpétuel. À l'enfoui au très très enfoui. » Et je m'obstine, m'acharne, ahane continue. Voici un rassemblement. C'est trempé, truffé, couturé, de reco- pillages travail à façon de reconnaître quelques dettes et les « grands alliés substantiels ». J'ai cherché les traces, les poussières, les surgissements et les refuges. Mais la poésie hein. Elle sait, elle. C'était du gros de matière laissée à lentement macérer, parfois brassée à manière de fabrication de terre quoi fut ensuite distillé à l'issue de plus d'une année d'attente et donc, cher lecteur, courage, vivons, répétons, portons nos amis dans la nuit, dans la brume.
  • Biographie : Sébastien Ménard a cherché et cherche encore l'ours et l'impermanence, le refuge et la trace, le lieu et le territoire, ainsi qu'une forme de tendresse à l'égard du vivant et du vaste monde, de l'ordinaire, de l'infime. Écrit sur diafragm. net. Publie à La Marge, Possibles, et Publie.net. Lectures- performances en solo ou avec Antoine Leroy (oud/guitare).
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.