Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
START-UP NATION, OVERDOSE BULLSHIT - PARCE QUE C'EST NOTRE P
Rue Echiquier - EAN : 9782374251561
Édition papier
EAN : 9782374251561
Paru le : 19 sept. 2019
11,00 €
10,43 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782374251561
- Réf. éditeur : 37425.1561
- Collection : LES INCISIVES
- Editeur : Rue Echiquier
- Date Parution : 19 sept. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 112
- Format : 1.00 x 11.10 x 19.00 cm
- Poids : 162gr
-
Résumé :
Dans ce pamphlet, Arthur de Grave développe une critique drôle et vive du gouvernement actuel, qui cherche à considérer la France telle une entreprise jeune, dynamique et ambitieuse. Il expose les grosses ficelles de ce projet politique qui se prend très au sérieux et cherche à savoir quelle est la réalité de la Start-up Nation, au-delà des tweets et tribunes enthousiastes dont elle fait l’objet.
Car le ver est dans le fruit : les ambassadeurs sont invités à être des « entrepreneurs de l’État ». On dématérialise à outrance tous les services publics, on noue des partenariats avec les géants californiens du numérique, avec l’idée que, pour renouer avec les bénéfices, la France aurait besoin d’être coachée par un Jeff Bezos ou un Mark Zuckerberg, version 100 % ENA.
Pour en finir avec une telle baudruche, Arthur de Grave revient sur l’histoire de cette mythologie, en regardant comme elle s’est forgée sous d’autres cieux : en Israël – premier État à avoir revendiqué le titre de « start-up nation », ou en Estonie – le pays de licornes telles que Skype, Taxify ou TransferWise. Et si la Start-up Nation n’était ni plus ni moins que le véhicule d’un discours de propagande ?