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LE JOUR MAUDIT
Parole - EAN : 9782375860021
Édition papier
EAN : 9782375860021
Paru le : 25 févr. 2024
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- EAN13 : 9782375860021
- Collection : LA MESCLA
- Editeur : Parole
- Date Parution : 25 févr. 2024
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : 0.00 x 13.00 x 21.00 cm
- Poids : 226gr
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Résumé :
Ce jour-là, le ciel s’est ouvert. Des trombes d’eau se sont abattues sur la terre. Elles ont balayé la vie, fait courir les contrebandiers et les morts avant d’emporter, en un tsunami furieux, le village-île qui dormait inconscient entre les bras de la rivière.
Dans cette épopée rocambolesque qui nous fait couler des montagnes du Mercantour et du mont Viso jusque dans les vallées, Raymond Jardin, qui nous a quittés en 2013, nous offre un roman truculent. En ouvrant cet ouvrage, le lecteur entendra peut-être le bruit des sabots du cheval fantôme. Celui de la violence de l’eau ne lui échappera pas. -
Biographie :
Né à Toulon en 1923, Raymond Jardin est admis à l’École normale d’instituteurs de Draguignan au moment où Pétain supprime ces écoles. Il a 17 ans et commence à écrire des poèmes. En 1945, il fait sa première rentrée comme instituteur à Tavernes, dans le haut Var. Il adopte la pédagogie de Célestin Freinet avec lequel il est ami. Avec le gendre de Freinet, Jacques Bens, il crée une revue littéraire : « La chandelle verte ». Militant actif du Syndicat des instituteurs, il participe dès 1947 à la relance des colonies de vacances créées en 1934 pour les enfants nécessiteux de Toulon.
Au cours des années, sa production littéraire est constante et diversifiée : romans, pièce de théâtre, monographies, poésie. Il est décédé en 2013.
Après « La guerre des moissons » paru en deux volumes, Raymond Jardin nous fait à nouveau bénéficier de son observation attentive de la vie rurale et de la force sans concession de la nature. Les inondations récurrentes, dont chacune efface le souvenir de la précédente, témoignent de cette force dont les villages puis les villes ont cru pouvoir se mettre à l’abri.
