Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
CINEMATOGRAPHE
Invenit - EAN : 9782376801153
Édition papier
EAN : 9782376801153
Paru le : 16 févr. 2024
18,00 €
17,06 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782376801153
- Editeur : Invenit
- Date Parution : 16 févr. 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 156
- Format : 1.20 x 17.10 x 23.00 cm
- Poids : 370gr
- Résumé : Cinématographe relève un double défi : le premier est d’ordre personnel, et ressortit à l’histoire intime. Retraçant la généalogie familiale, Christine Desrousseaux part à la découverte d’un arrière-grand-père qu’elle n’a pas connu. Celui qui en 1943, alors qu’il avait 67 ans, s’est donné la mort, n’a pas attendu la venue au monde, neuf ans plus tard, de son arrière-petite-fille. Collectant lettres et archives, sondant souvenirs et témoignages, celle-ci recoud, point par point, fils et filiations interrompus. L’autre défi de l’ouvrage est de taille, lui aussi, sachant que l’arrière-grand-père en question se nomme Jean Deconinck, le très fameux Jean Deconinck auquel on doit un lieu emblématique des Hauts-de-France : le Fresnoy à Tourcoing. L’aventure démarre en 1901, lorsque Jean Deconinck rachète une partie des écuries du château Descat et y installe en 1905 un cinéma muet en plein air. Ébéniste de métier, il dessine les plans de ce qui deviendra Le Fresnoy, qui ouvre officiellement en 1907. L’établissement est un centre de divertissements populaires, avec un cinéma couvert, une salle de danse, des brasseries, des bars. Le Fresnoy se fait l’écho des innovations cinématographiques, programme les productions de la Fox ou du Paramount, projette les films de Cecil B. DeMille, Lubitsch, Buster Keaton et Hitchcock, sous oublier de promouvoir le cinéma de René Clair ou Jean Renoir. Dans l’élan, Jean Deconinck fait construire à Roubaix le cinéma le Colisée, d’une capacité de 2000 places. Après sa disparition, le Fresnoy, après quelques hauts et bas, est transformé en école supérieure d’art pour la formation aux langages audiovisuels. En 1997, il devient le Studio national des arts contemporains que nous connaissons aujourd’hui.