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CAHIERS DU CINEMA N 808 : FILMER L'INFILMABLE - AVRIL 2024
Cahiers Cinema - EAN : 9782377161096
Édition papier
EAN : 9782377161096
Paru le : 2 avr. 2024
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- EAN13 : 9782377161096
- Editeur : Cahiers Cinema
- Date Parution : 2 avr. 2024
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 100
- Format : 0.40 x 20.00 x 27.00 cm
- Poids : 190gr
- Résumé : Malgré son succès en salle, et l’encre qu’il a fait couler, La Zone d’intérêt de Jonathan Glazer a surtout suscité des commentaires hors de la critique cinématographique. Aussi, la rédaction revient sous la forme d’une table ronde critique accompagnée de textes interrogeant, entre autres, l’influence de Shoah de Claude Lanzmann. C’est un point de vue profondément ancré dans le XXIe siècle, ses nouveaux régimes d’image et ses enjeux muséaux propres que les Cahiers font émerger dans cet ensemble, « Filmer l’infilmable », qui fait aussi dialoguer les choix de Glazer et de Steve Mc Queen dans Occupied City.Le film du mois, Le Mal n’existe pas de Ryûsuke Hamaguchi, cinéaste très apprécié des Cahiers, investit un territoire rural japonais dont il est peu coutumier. Dans son entretien avec Marcos Uzal, il revient sur la dimension écologique de son cinéma qui entrecroise le naturel et l’artificiel, le hasard et la fantaisie.Cette poétique du territoire se retrouve dans l’insulaire Enys Men autant que dans le jeu de piste à hauteur d’enfant de Riddle of Fire, les revendications des Krahô d’Amazonie de La Fleur de Buriti et, sur un mode très contrasté, dans Civil War d’Alex Garland et Le Déserteur de Dani Rosenberg, film israélien qui fait douloureusement écho à la situation actuelle du Moyen-Orient.La rubrique « Au travail », consacrée aux métiers du cinéma, entre dans l’atelier de Simon Weisse, concepteur des décors miniatures des films de Wes Anderson qui perpétue une idée de l’artisanat et du temps long.Aux côtés du bilan de La Berlinale, les Cahiers poursuivent leur travail de mise en valeur de celles qui font le cinéma d’hier et d’aujourd’hui, à travers un hommage à l’actrice Micheline Presle et le parcours de filmographies marginales récemment programmées ou restaurées : celles de Nancy Savoca, Babette Mangolte et Deborah Stratman. Olivia Cooper-Hadjian consacre un texte à quatre figures féminines du film-essai contemporain qui fait écho à la parution du livre L’Essai au cinéma de Bamchade Pourvali et à celle de L’Œuvre écrite et parlée de Chantal Akerman. Parmi les ressorties, on retrouvera aussi quatre films du maître hongkongais Stanley Kwan et une rareté argentine de Rogelio A. González.