Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
UNE DICTATURE NOMMEE DEMOCRATIE - CHRONIQUES DE LA COVIDOFOLIE
Talma Studios - EAN : 9782377900343
Édition papier
EAN : 9782377900343
Paru le : 14 févr. 2024
21,90 €
20,76 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782377900343
- Réf. éditeur : 7252108
- Editeur : Talma Studios
- Date Parution : 14 févr. 2024
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 252
- Format : 0.00 x 15.60 x 23.40 cm
- Poids : 393gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : « Les paroles s'envolent, les écrits restent. » Rédigé au jour le jour sur Twitter, ce livre est le reflet vivant de ce que nous avons vécu pendant la « pandémie ». À travers ses messages lucides, caustiques et drôles pour la plupart, Adina de Souzy nous livre un témoignage implacable, qui confronte le récit officiel à son tissu vertigineux de contre-vérités. À lire et à conserver pour comprendre comment une démocratie s'est transformée en tyrannie en quelques mois. Notre devoir est de lutter contre cette propagande mortifère, et de répandre l'étincelle, le sentiment, la conscience qu'une vie meilleure est à notre portée. Ce n'est pas le moindre des enjeux de "Une dictature nommée démocratie".
- Biographie : Artiste peintre et restauratrice d'oeuvres d'art, Adina de Souzy est aussi une femme engagée. La liberté sous toutes ses formes lui tient d'autant plus à coeur qu'elle a vécu son enfance dans la Roumanie communiste du dictateur Ceausescu. Elle n'imaginait pas retrouver dans le pays des droits de l'homme les mêmes mécanismes du totalitarisme, qui, selon elle, s'installe lentement mais sûrement, et s'est accéléré grâce à l'opportunité de la crise Covid-19.