LES MACHINES CELIBATAIRES

Editions Mf - EAN : 9782378040659
CARROUGES MICHEL
Édition papier

EAN : 9782378040659

Paru le : 10 déc. 2024

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A paraître 10 déc. 2024
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  • EAN13 : 9782378040659
  • Réf. éditeur : 978237804065
  • Collection : INVENTIONS
  • Editeur : Editions Mf
  • Date Parution : 10 déc. 2024
  • Disponibilite : Pas encore paru
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 200
  • Format : 2.00 x 12.00 x 21.00 cm
  • Poids : 250gr
  • Résumé : En 1954, le surréaliste Michel Carrouges publie Les Machines célibataires (le terme vient de Marcel Duchamp pour désigner la partie inférieure de son Grand Verre – soit La mariée mise à nu par ses célibataires, même), érigeant cette notion en mythe contemporain. Pour appuyer son propos, il puise dans la littérature toutes sortes de machines imaginaires et tentaculaires conçues par des auteurs comme Franz Kafka, Lautréamont ou encore Alfred Jarry. Une deuxième édition augmentée paraît en 1976. Nous rééditons aujourd'hui cet ouvrage légendaire depuis longtemps épuisé. Marcel Duchamp introduit la machine célibataire dans le monde de l’art avant que Carrouges ne poursuive son exploration du côté de la littérature tout en prenant l’oeuvre de l’artiste comme point de départ. En 1954, Carrouges rassemble une série de textes-machines dans un répertoire où se côtoient Kafka et La Colonie pénitentiaire, Raymond Roussel et son Locus Solus, Alfred Jarry et Le Surmâle, Edgar Allan Poe et Le Puits et le Pendule, Hillel-Erlanger et Les voyages en kaléidoscope, Villiers et l’Êve future. Puis trois nouvelles machines viennent s’ajouter dans l’édition de 1976 : Adolfo Bioy Casares avec L’invention de Morel, Lautréamont et ses chants de Maldoror, et enfin Jules Verne avec Le château des Carpates. Quel est le trait en commun entre toutes ces oeuvres ? Que mettent-elles à chaque fois en scène ? Le mouvement autosuffisant d’une machine qui obéit à des règles strictes renvoyant à l’impitoyable indifférence d’une technique qui porte la mort comme l’extase.
  • Biographie : Michel Carrouges (Pseudonyme de Louis Couturier) était un écrivain surréaliste. A la croisée des chemins, il oeuvra toute sa vie pour comprendre les mythes modernes où, il le dit lui même lors de la sortie de son second roman Les Grands-Pères prodiges, s'affrontent la réalité d'un vertigineux progrès scientifique,... et les prophéties religieuses sur l'avenir humain. <br /><br />Michel Carrouges, de son nom patronymique Louis Couturier, est né en 1910 à Poitiers, département de la Vienne, France.<br />Au début des Années 50, il rencontre Marcel Duchamp et rédigera un ouvrage intitulé Les Machines célibataires, expression reprise de celui-ci, en se servant du Grand Verre autrement dit La Mariée mise à nu par ses célibataires, même – comme fil conducteur.<br />Il s’intéressera à l’oeuvre de Franz Kafka pour mettre en lumière ce que ses écrits font mieux comprendre des ressorts de l’aliénation sociale. Ressorts dont l’apparente « absurdité » n’est que le miroir aux alouettes des vrais détenteurs d’un pouvoir, petit ou grand.<br />Il sera aussi l’auteur de plusieurs nouvelles de science-fiction, ainsi que deux romans, Les Portes dauphines et Les Grands-Pères prodiges.<br />Il entreprit l’écriture de plusieurs ouvrages sur le Père de Foucauld, lui aussi au carrefour des spiritualités musulmane et chrétienne. Rencontre qui ne pouvait que susciter l’intérêt de Michel Carrouges, lui qui au contact de la spiritualité bouddhisterepris le chemin de la spiritualité chrétienne.<br />Par la suite, il s’intéressera à un mythe moderne, les « Soucoupes volantes » que l’on voyaient à cette époque « envahirent » les cieux de France, des USA et bien ailleurs encore. Il écrira à ce propos Les Apparitions de Martiens pour tenter de décrypter les témoignages et en faire ressortir les convergences et les incohérences.<br />Malheureusement, une cécité précoce l’obligera à cesser toutes activités littéraires régulières. Il décède en 1988 à son domicile de l’avenue de La Motte-Picquet.<br />
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