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CONFINEE AVEC UN CON FINI
EAN : 9782381022161
Édition papier
EAN : 9782381022161
Paru le : 9 juil. 2021
14,95 €
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- EAN13 : 9782381022161
- Réf. éditeur : 8215304
- Collection : SOCIETE
- Date Parution : 9 juil. 2021
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 156
- Format : 0.80 x 14.80 x 21.00 cm
- Poids : 195gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : 17 mars 2020, premier jour de confinement. Une sexagénaire, qui supporte tant bien que mal l'alcoolisme de son mari depuis plus de 40 ans, se voit soudain prisonnière dans sa propre maison. Afin d'occuper ses longues journées d'enfermement, elle se lance alors dans l'écriture d'un journal qui va décrire, jour après jour, ce qu'elle observe et ce qu'elle ressent. Privée de tout et surveillée par un geôlier malveillant et brutal, elle va donner à son récit tous les accents d'une véritable descente aux enfers. Afin d'aider les femmes qui subissent, comme elle, des violences conjugales, on peut trouver, après le récit, quelques chiffres et quelques dates qui ne peuvent pas laisser indifférent. Selon l'AFP, le 30 mars 2020 : Une augmentation de plus de 30 % des signalements de violences conjugales a été constatée en une semaine...
- Biographie : Née en 1952 à Etampes (91), Joëlle GILLET-MUZET, qui a pris le pseudonyme de Mouni GILL, a été une professeure de lettres passionnée de 1973 à 2013 et très malheureuse d'avoir dû prendre sa retraite. Elle a essayé de faire partager sa passion du théâtre à ses élèves de collège en écrivant, chaque été, la pièce de son futur spectacle qui avait lieu en mai. L'écriture a toujours été une de ses occupations favorites. Ses trois passions sont ses petits enfants qui l'ont surnommée Mouni, le théâtre et le football (OM et Arsenal). Retraitée désoeuvrée, confinée et féministe, elle a écrit ce journal d'une femme confinée avec un mari alcoolique pour se donner un but. Le confinement lui ayant fait peur, elle a essayé de se plonger dans un univers qui lui semblait plus insupportable que celui dans lequel elle vivait personnellement. Elle a surtout pensé servir humblement, par ce récit, la cause des femmes battues qui n'est encore qu'une cause méconnue.
