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MONTREZ-NOUS QU'ON A TORT
Fremok - EAN : 9782390220268
Édition papier
EAN : 9782390220268
Paru le : 18 nov. 2021
20,00 €
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- EAN13 : 9782390220268
- Réf. éditeur : 152864
- Collection : ART
- Editeur : Fremok
- Date Parution : 18 nov. 2021
- Disponibilite : Provisoirement non disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 96
- Format : 0.90 x 24.20 x 32.00 cm
- Poids : 506gr
- Résumé : Tandis que Géraldine Stringer dessine les montagnes et le salon de bric et de broc qui les entoure, des hommes et des femmes lui parlent de leur histoire, de ce qu'ils ont traversé, de ce qu'ils échangent ou gardent pour eux, de la sérénité qu'ils retrouvent ici. Dans l'Arrière-pays niçois, traversée par des milliers de gens au péril de leur vie ; au Caravansérail, où Hubert refuse le drame qui se joue devant sa porte.
- Biographie : Entre Casablanca et l'Ile-de-France, Géraldine fait jeunesse, avant Paris : elle construit des nids lumineux en céramique, travaille pour Sonya Rykiel, chante en slip et moustache dans les « Violettes s'il te plaît », pleure dans les toilettes de la mode, s'en va sans regrets pour Marseille. Elle y croque « A l'arrache », dessins vite faits bien faits sur la débrouille et les embrouilles. Près de là, Fos, entre mélancolie et pollution : voilà « Aquarelle et raffineries ». Dans « Premier quartier d'Europe, alors ça y est, y s'affolent » le portrait carbone de Linda dit l'expulsion et la nostalgie du Panier. « Sous les mûriers d'Artaud » chope au rotring mégots et baskets, murmures de classe et phrases qui claquent. Vient après l'aventure de l'Atelier Autonome du Livre : à deux, à plein, ça fourmille. Géraldine refait ses gammes aux crayons de couleur, capte le travail invisible d'amies isolées par la géographie et la maternité, et l'expose dans « Travaux ménagers ». Le monde est à notre porte, elle l'accueille direct, travaille dans un centre pour migrant-e-s et co-fonde un collectif d'accueil. Elle enrage, grimpe la montagne sacrée, souffle en résidence (« Poc à poc »), prend son élan et s'attaque à « Caravansérail », terrible et beau à la fois : comment dans l'Arrière-pays niçois un homme a ouvert sa maison, où toutes et tous peuvent s'arrêter, prendre des forces ou des racines, reprendre en main ce qui a failli leur être pris et pourrait l'être encore.