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NOTES ET REFLEXIONS SUR LA CHARGE DISSOUTE DANS L’EAU DES SOURCES EN FRANCE
Honore Editions - EAN : 9782407012480
Édition papier
EAN : 9782407012480
Paru le : 16 mars 2023
18,90 €
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- EAN13 : 9782407012480
- Editeur : Honore Editions
- Date Parution : 16 mars 2023
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 260
- Format : H:220 mm L:150 mm E:27 mm
- Poids : 553gr
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Résumé :
Ce livre se veut le fondement scientifique d’un ouvrage de vulgarisation paru auparavant sur le même sujet, « Dis-moi Petite Source ». Ce dernier se proposait d’intéresser un lecteur non averti, à l’intérêt des mesures sur la charge dissoute. Ainsi l’étiquette qui figure réglementairement sur toutes les eaux en bouteilles, était-elle présentée comme décrivant « l’ADN des Naïades », ce qui permet d’identifier l’origine des eaux de source, ainsi que leur genèse (ou hérédité). Mais les preuves scientifiques demandaient souvent à être établies.
C’est l’objet du présent travail, entreprise quelque peu difficile : car démontrer est bien plus ardu qu’énoncer ; c’est la différence entre théorème et principe.
Ici, l’on montre que l’état naturel des eaux de source dépend de plusieurs influences : géologiques bien sûr, mais aussi très souvent, météorologiques : à savoir des retombées atmosphériques, soit marines, soit sahariennes. L’évapotranspiration (vent, mais surtout chaleur) joue aussi un rôle, notamment dans le sud du pays, en augmentant les concentrations. Les méthodes classiques de mesure de cette évapotranspiration, par la méthode des bilans sur chlorures (CMB), apparaissent comme biaisées, s’il y a des nitrates ou dans certains milieux géologiques.
Dans un second temps, l’ouvrage montre l’impact des principales sources de pollution, apports d’azote (nitrates évidemment), pollutions atmosphériques (soufre), corrosion de métaux dans le cas de forages.
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Biographie :
L’auteur a commencé à s’intéresser à la géologie, adolescent : il cherchait des fossiles dans les falaises des côtes de Vendée ; à 15 ans il apprend qu’on peut en faire un métier, et décide donc de présenter le concours de l’ENS Géologie de Nancy. Il y est reçu à 19 ans, et diplômé à 22 ans, il commence une carrière d’ingénieur.
Ce sera de la chimie des roches (géochimie), en lien avec la géologie de l’uranium. Ensuite, toujours la géochimie, mais celle des sols et des sédiments de ruisseaux, pour la prospection de métaux de base, ou d’or.
En rentrant d’expatriation (Arabie), il est orienté vers la géothermie, chez l’ancêtre de l’ADEME, où il est en charge des aspects administratifs relatifs aux subventions publiques. Puis dans un autre cadre, des calculs d’interactions eaux / roches, à propos de stockages souterrains. Enfin, ce sera la qualité de l’eau, avec l’origine d’éléments dissous indésirables (fluor, phosphore, arsenic ...).
Il est par ailleurs docteur d’Etat ès sciences (1971).