Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La main dans tes cheveux
EAN : 9782491625245
Paru le : 2 juin 2022
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782491625245
- Réf. éditeur : O1108379
- Collection : LE CHANT DU GOU
- Date Parution : 2 juin 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 120
- Format : H:190 mm L:120 mm E:6 mm
- Poids : 124gr
-
Résumé :
Lire de la poésie, c'est une invitation à prendre son temps, à savoir savourer, en apesanteur, pour s'approcher au plus près de la subtilité de l'âme humaine.
Dans "La main dans tes cheveux", Louise des Quatre-Vents appréhende l'insaisissable fragilité humaine. Ce recueil de poésie est un cri d'amour, un hymne du cœur, un angélus à la sagesse car il faut toute la foi en la vie et l'expérience d'un long chemin escarpé, mais parcouru sans aigreur, pour écrire ces 35 poèmes.
En littérature, dire le "Je" d'une féminine vieillesse n'est pas de l'égocentrisme mais du courage, bien loin de toute la compromission ambiante. Ce livre est donc un cerf-volant, lâché dans la nébuleuse, que l'on suit avec espérance comme l'étoile du berger.
-
Biographie :
Louise des Quatre-Vents est née en 1958 d’une famille de la grande bourgeoisie parisienne, son grand-père du côté maternel ayant fait fortune dans la fabrication de tissus haute-couture, et sa grand-mère venant de l’aristocratie. C’était une famille d’artistes qui vivait de ses rentes, son arrière-grand-père était sculpteur. Un de ses oncles était peintre, et son cousin germain est musicien (Il a dirigé l’orchestre national de jazz). Elle avait six tantes et un oncle, dix-huit cousins, et tout ce petit monde se réunissait pendant les vacances scolaires dans un manoir en Bretagne où elle a vécu les moments les plus lumineux de son enfance. Il y avait un grand parc où les enfants jouaient en liberté. C’est là qu’elle apprit à aimer la nature et cela lui reste encore chevillé au corps.
À la maison, la vie était loin d’être rose. Ses parents ne s’entendaient pas, et son père avait des crises de colère où il la battait comme plâtre. Sa mère, qu’elle aimait pourtant beaucoup, lui mettait la tête sous l’eau froide dès qu’elle sortait du rang serré des obligations familiales.
Elle la perdit à l’âge de vingt ans, suicidée au revolver parce que son mari l’abandonnait pour une femme de vingt ans moins âgée qu’elle. Elle était déjà très dépressive et Louise hérita de cette terrible maladie.
Tous ces éléments permettent d’expliquer un peu le caractère bipolaire de l’œuvre de Louise, que l’on retrouve dans ses poésies.
Après bien des difficultés, Louise s’est construite une vie de famille heureuse et épanouissante. La poésie et la peinture y prennent une très grande place.