Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LES JAUNES, UN SYNDICALISME TRICOLORE - LE SYNDICAT QUI DEFIA LA CGT
EAN : 9782493898319
Édition papier
EAN : 9782493898319
Paru le : 5 oct. 2022
15,50 €
14,69 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant provisoirement
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782493898319
- Collection : PASSES CROISES
- Date Parution : 5 oct. 2022
- Disponibilite : Provisoirement non disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 186
- Format : 1.30 x 12.00 x 19.00 cm
- Poids : 185gr
-
Résumé :
Au début du xxe siècle, émerge au sein de la classe ouvrière une alternative qui va se développer de façon fulgurante malgré les attaques répétées et violentes des « Rouges » : les syndicats jaunes. En réaction au syndicalisme révolutionnaire de la CGT et porté par le charismatique Pierre Biétry, tribun tonitruant qui sera élu député, ce mouvement prend les formes d’une droite populaire et cocardière. Son programme : la collaboration de classes, l’antiétatisme et la volonté de supprimer le prolétariat en l’intégrant dans la communauté nationale. Soutenus par les milieux intellectuels de droite et une partie du patronat, les Jaunes se dotèrent de leur propre matrice idéologique, le « propriétisme », et finirent par épouser les thèses du nationalisme français. Didier Favre nous présente dans cette étude la courte et fracassante histoire d’une mouvance qui a marqué la fin de la Belle époque et laissé son empreinte sur l’imaginaire politique.
Didier Favre est docteur d’État en science politique. Il est déjà l’auteur de Ni Rouges ni Jaunes – L’expérience du syndicalisme indépendant, dont la version universitaire a obtenu le prix de thèse de l’université Paris-II-Panthéon-Assas.