Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
KONRAD LORENZ - UN BIOLOGISTE AU CHEVET DE LA CIVILISATION
EAN : 9782493898654
Édition papier
EAN : 9782493898654
Paru le : 15 avr. 2023
9,00 €
8,53 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782493898654
- Collection : LONGUE MEMOIRE
- Date Parution : 15 avr. 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 76
- Format : 0.70 x 11.80 x 18.00 cm
- Poids : 85gr
-
Résumé :
Biologiste et fondateur de l’éthologie, Konrad Lorenz a consacré sa vie à l’étude des poissons, des oies, des corneilles et de beaucoup d’autres animaux, sans jamais cesser pour autant de penser à l’homme en arrière-plan. Or, son regard sur la civilisation moderne était celui d’un homme inquiet, ce dont témoigne le titre de deux de ses ouvrages: Les Huit Péchés capitaux de notre civilisation et L’Homme en péril. Lorenz nous a quittés en 1989 mais, à l’évidence, ses préoccupations conservent toute leur actualité. A travers un examen attentif de l’œuvre de Lorenz et de ses apports à la connaissance scientifique, Yves Christen nous montre tout ce que nous avons à retenir d’un homme qui a passé sa vie dans l’amicale proximité des animaux. Il y a là de riches enseignements pour les hommes de notre siècle.
Yves Christen, biologiste et écrivain, est l’auteur de nombreux livres, notamment L’animal est-il une personne ? (Flammarion), L´animal est-il un philosophe ? (Odile Jacob), L’homme bioculturel (le Rocher), Marx et Darwin (Albin Michel) et L’heure de la sociobiologie (Albin Michel).