Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
PENSER EN COMMUN UN "RAPPORT SANS RAPPORT"
Beauchesne - EAN : 9782701020983
Édition papier
EAN : 9782701020983
Paru le : 9 oct. 2015
22,00 €
20,85 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782701020983
- Réf. éditeur : 307455
- Collection : PRETENTAINE
- Editeur : Beauchesne
- Date Parution : 9 oct. 2015
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 296
- Format : 2.50 x 13.90 x 23.90 cm
- Poids : 410gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Jean-Luc Nancy dialogue avec Maurice Blanchot sur le fil historique du communisme et d’un fondement théologique inavouable de la communauté comme étant d’emblée humaine et politique. Y a-t-il entre communisme et communion une déconstruction possible du « commun » qui restitue le tragique ? Trois interlocuteurs l’interrogent ici dans cette configuration, où c’est la « déconstruction du christianisme » qui opère l’autocritique de la modernité.
Quant à Sarah Kofman, elle traverse le texte-Blanchot, sa pensée de l’écriture et de l’« absolu » de l’histoire, pour renverser tout recours à la parole et à l’écrit « après Auschwitz ». A l’épreuve d’un avers terrible, l’intellectuel n’est alors plus qu’un témoin contraint, juste capable de tenir parole, pour l’autre et à la façon d’une promesse assignée au passé. Peut-on renverser cette assignation, comment et pour quoi ?
Ce livre arpente ces deux dialogues, disparates sur fond de proximité. Et c’est d’un différend qu’il s’agit, significatif de la fragilité de la pensée aux prises avec le destin et la nécessité, avec l’indépassable particularité des situations historiques aussi.
Sans théoriser, mais sans renoncer à la rigueur (philosophique !), les interrogations du livre arpentent l’autoréflexion culturelle de sociétés marquées par une perte de la modernité – celle d’une expérience de la liberté et du temps –, perte célébrée ou refusée, mais qui insiste. Le livre tente d’inverser le rapport contemporain des sociétés à elles-mêmes, frappé de présentisme, de logorrhée médiatique et d’explosion des sphères d’opinions publiques.
Ont participé à cet ouvrage :
Olivier Abel, Pierre Gisel, Ginette Michaud, Jean-Luc Nancy, Hannes Opelz, Tommaso Tuppini et Isabelle Ullern.