Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
J'AI VOULU VOIR
EAN : 9782702142752
Paru le : 25 janv. 2012
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782702142752
- Réf. éditeur : 5184650
- Collection : BIOGRAPHIES, AU
- Editeur : Calmann-Levy
- Date Parution : 25 janv. 2012
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 396
- Format : 3.10 x 15.00 x 23.00 cm
- Poids : 494gr
-
Résumé :
Photographe célèbre, grand voyageur et jeune homme curieux, Gilles Caron, disparu au cours d’un reportage alors qu’il avait à peine trente ans, a laissé un héritage à la hauteur de son existence. Ses photos — celles de Mai 68, de la guerre des Six-Jours, ses portraits de Brigitte Bardot ou de Gaulle — sont aujourd’hui mondialement connues, mais c’est grâce à sa correspondance avec sa mère que l’on découvre enfin qui était l’homme derrière le reporter.
Pendant la guerre d’Algérie, à partir de 1960, Gilles Caron, parachutiste amateur dans le civil, est mobilisé chez les paras, au sein du 3e régiment d’infanterie de marine. Sa mère et lui n’ont alors jamais cessé de s’écrire. Opérations sur le terrain, insoumission de Gilles, manifestations à Paris, mais aussi dernières lectures dans l’attente des combats : ils parlent de tout et de rien avec une intelligence et une intensité bouleversantes.
Tour à tour drôles et sérieuses, légères et inquiètes, ces lettres disent aussi la tendresse infinie qui lie une mère à son fils. Un livre poignant, un document historique exceptionnel.
- Biographie : Né à Neuilly le 8 juillet 1939, Gilles Caron a rejoint l'équipe fondatrice de l’agence Gamma en avril 1967. Ses reportages ont été régulièrement publiés dans des journaux français tels que Paris-Match ou L’Express, et également à la une de la presse anglo-saxonne, de Life ou du New York Times. Il disparaît en 1970 au Cambodge, sur la route n° 1 menant au Viêt Nam.