Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LECONS SUR LA PHILOSOPHIE DE GEORGES BERKELEY
EAN : 9782729881269
Paru le : 3 sept. 2013
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782729881269
- Réf. éditeur : DEGBER
- Collection : COURS DE PHILOS
- Date Parution : 3 sept. 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 256
- Format : 1.60 x 16.50 x 24.00 cm
- Poids : 420gr
-
Résumé :
C’est tout jeune que Berkeley a conçu l’idée maîtresse de sa philosophie, et a publié ses ouvrages majeurs. Il met au centre de son oeuvre la perception, et nie l’idée générale abstraite d’être ou d’existence ; ainsi n’existent que les esprits qui perçoivent et les choses ou idées sensibles, qui sont perçues. De ce fait, sa philosophie ne saurait être ni un idéalisme, ni un spiritualisme, mais un couple où la perception ajusterait l’un à l’autre les esprits et les idées, – comme l’amour colle les deux moitiés d’un symbole qui avait été cassé – ; il a inventé le mot « immatérialisme » pour désigner sa philosophie, car la perception des idées y rend vide la notion de matière. Penseur lumineux, concis et élégant, Berkeley est un génie tranquille, resté simple comme un irlandais sait l’être, et toujours confi ant en la vérité qu’il a vue. Dans ces leçons, je tente de mettre mes pas et ceux du lecteur dans les pas de Berkeley. Le parcours que je propose est moins celui de la connaissance que celui de la compréhension. En fin de course, je passerai le bâton de relais à qui aurait envie de poursuivre sa route avec ce grand voyageur, car les études publiées en français sont encore trop rares. La lecture de ces leçons est elle-même une traversée qui mène à bon port : « C’est comme de rentrer chez soi après un long voyage : l’homme alors repasse en son esprit avec plaisir les nombreuses difficultés qu’il a rencontrées, les perplexités qu’il a connues ; il met son coeur à l’aise, et se réjouit de lui-même, envisageant le futur avec joie. » (Berkeley, Préface des Trois dialogues entre Hylas et Philonous)