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Une Psychanalyse pour quoi faire ?
Grancher - EAN : 9782733909737
Édition papier
EAN : 9782733909737
Paru le : 27 sept. 2006
17,15 €
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- EAN13 : 9782733909737
- Réf. éditeur : 34980
- Collection : LE CORPS ET L'E
- Editeur : Grancher
- Date Parution : 27 sept. 2006
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 230
- Format : H:215 mm L:143 mm E:17 mm
- Poids : 298gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Conscient-Inconscient. Ph. Grancher. Comment pourrait-on définir le conscient ? J.-J. Moscovitz. C'est sans doute le mot le plus difficile à cerner. Freud a beaucoup dit sur l'inconscient mais a peu parlé du conscient - du moins, on ne dispose pas de ce qu'il aurait pu écrire à ce sujet. La conscience, c'est toute la question qu'on appelle le devenir conscient, c'est-à-dire comment quelque chose qui se sait peut changer... Et pour changer, comment ça doit passer par l'inconscient. Le conscient, c'est le système de la perception. Mais on peut très bien percevoir sans le savoir ! L'information une fois reçue à l'état brut, part-elle vers l'inconscient ? Oui, en passant par ce qui s'appelle le pré-conscient. Freud parle plutôt du système pré-conscient/conscient, par opposition à l'inconscient. L'inconscient a acquis un statut «scientifique» pour Freud au moment où il a avancé, vers 1920, ce qu'on appelle sa deuxième topique, là où il avance la notion d'instinct de mort: c'est-à-dire la compulsion de répétition de la vie vers l'inanimé. C'est très compliqué à le dire tout de suite et du reste, à partir de là, il y a eu des scissions dans le mouvement freudien, entre ceux qui acceptent et ceux qui refusent une telle notion. J'ai toujours lu que l'inconscient était plus «grand», plus «vaste» que le conscient. Est-ce exact ? Oui.