LA SECONDE GUERRE MONDIALE FAIT SON CINEMA

Ouest France - EAN : 9782737390654
RONDEAU BENOIT
Édition papier

EAN : 9782737390654

Paru le : 25 oct. 2024

35,00 € 33,18 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 25 oct. 2024
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782737390654
  • Réf. éditeur : OFR300026
  • Editeur : Ouest France
  • Date Parution : 25 oct. 2024
  • Disponibilite : Pas encore paru
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 256
  • Poids : 0gr
  • Résumé :

    Benoît Rondeau propose un beau livre qui relie Cinéma et Seconde Guerre mondiale, étant entendu que des incursions sont faites sur le petit écran dont les programmes ont eu une influence sur le cinéma (et inversement). Ce livre est inédit : il s'agit d’aborder le sujet selon le point de vue d’un historien. Comment a-t-on filmé des fictions sur le conflit de 1939-1945, selon la période, selon le pays (la Résistance vue par Hollywood est différente dans un film français réalisé après-guerre, qui présente également un autre regard que celui d’une œuvre française qui sort sur les écrans dans les années 2000), selon le réalisme, etc., et ce, depuis 1939 jusqu’à nos jours. La question de la censure ou des difficultés de tournage est également abordée. Dans chaque chapitre on découvre la représentation des différents fronts ou personnages au fil du temps. Pour la guerre du Pacifique, il y a par exemple une grande évolution entre « Iwo Jima » avec John Wayne et « Lettres d’Iwo Jima » de Clint Eastwood. Les œuvres majeures du cinéma français et étranger sont abordées (par exemple « Le Silence de la Mer » ou encore « Le Vieux Fusil ») et on verra comment elles ont érigé en mythe certains événements (certains passages du « Jour le Plus Long » : des lieux comme Pegasus Bridge et Sainte-Mère-Eglise et les légendes qui y sont rattachées ne doivent-ils pas leur postérité à cette oeuvre ?) ou certains personnages (« Patton »). L'auteur montre également quels aspects de la guerre sont traités en fonction des pays des studios et des réalisateurs : il est beaucoup question de Résistance et d’Occupation en France, El Alamein intéresse surtout les Italiens, le Débarquement plus les Américains que les Anglais, ces derniers s’attachant à des combats qui mettent leurs armées en valeur (« Coulez le Bismarck », « La bataille d’Angleterre », « Les héros du Télémark »). On passe d’œuvres dithyrambiques, nationalistes, héroïques, à des films de plus en plus critiques et réalistes, bien qu’aucun des différents genres (du comique à l’action) n’ait complétement disparu.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.