Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
DE LAUTRÉAMONT À FRANCIS BACON : LES FILMS DE COCTEAU COMME LIEN INTERTEXTUEL
Champion - EAN : 9782745353078
Édition papier
EAN : 9782745353078
Paru le : 29 août 2019
60,00 €
56,87 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782745353078
- Réf. éditeur : 07535307
- Collection : BLGC
- Editeur : Champion
- Date Parution : 29 août 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 486
- Format : H:155 mm L:235 mm
- Poids : 800gr
- Résumé : Cocteau, dont le rayonnement littéraire est bien connu, a été aussi un cinéaste de génie, ce que peu de cinéphiles savent. Francis Bacon a puisé l’idée de plusieurs de ses peintures dans Le Sang d’un poète, parce que ce film montrait une succession de faits surréalistes, c’est-à-dire « plus réels que le réel », et aussi à cause de la beauté de l’acteur tenant le rôle du poète. Et c’est un film de Cocteau encore, Orphée, qu’Aragon a retenu comme hypotexte pour son roman La Mise à mort. Lautréamont constitue l’armature de notre enquête. Ses Chants de Maldoror (1869) étaient tellement en avance sur leur époque qu’aujourd’hui encore il peut être considéré comme un poète d’avant-garde. Méconnu ou rejeté, il a pourtant inspiré quelques-uns des plus grands créateurs du XXe siècle, ébranlés par la puissance de son souffle poétique et l’audace de son écriture. Ce livre met en lumière le rôle capital que ce jeune Montévidéen, mort à l’âge de 24 ans, a joué dans la littérature et l’art : les œuvres d’Alfred Jarry, de Giovanni Papini, de Louis Aragon et de Francis Bacon en portent la marque.
- Biographie : Docteur ès lettres classiques de l’Université de Genève, sa ville natale, Jean-Marc Moret a enseigné l’archéologie classique et l’histoire de l’art à l’Université de Lyon 2, dont il est professeur émérite. Après avoir fouillé à Métaponte avec Antonio De Siena et à Palmyre avec Michal Gawlikowski, il a ouvert deux chantiers en Italie : à Ostie (schola del Traiano) et à Garaguso (Basilicata), où avait été exhumé en 1916 le célèbre tempietto de marbre. Il est l’auteur de plusieurs monographies sur l’art antique et postantique : L’Ilioupersis dans la céramique italiote (1975), Œdipe, la Sphinx et les Thébains (1984), Lespierres gravées antiques représentant le rapt du Palladion (1997), Nani in festa (2012), I marmi di Garaguso (2014), « Ce morcel ne puis avaler ». Images entre histoire et théologie aux XIIe et XIIIe siècles (2017), « Le Tableau unique qui résumera tous les autres ». Francis Bacon à travers Manet et Vélasquez (2018). Il travaille actuellement à un ouvrage sur la peinture maniériste.