Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
W. H. Auden : pertes et repères dans la cité
Pu Rennes - EAN : 9782753598324
Édition papier
EAN : 9782753598324
Paru le : 19 juin 2025
28,00 €
26,54 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 19 juin 2025
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782753598324
- Réf. éditeur : 379899
- Collection : UNIVERS ANGLOPH
- Editeur : Pu Rennes
- Date Parution : 19 juin 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Poids : 0gr
- Résumé : Proposer une lecture de l'oeuvre de W.H. Auden (1907-1973) à travers la notion de cité dont il livre un examen historique, esthétique et stylistique, tel est le but du livre. Fasciné par les villes, Auden ne cesse de sonder divers modèles (Cité juste, Utopie, Cité de Dieu) pour renouveler sa création. Dès les années 1930, ses vers conçoivent la civitas comme une oeuvre d'art permettant d'élever l'homme au-dessus de la nature en suivant les aventures de personnages en quête de repères, perdus à Bruxelles, Berlin ou New York. Le poète voit s'ébranler les fondations de la cité avec la Grande Guerre avant d'assister à la montée du nazisme, et ses textes des années 1940 comptent parmi les premiers à tenter de dire la réalité des camps de concentration dans un monde sans significations. Aussi s'inscrit-il en faux contre les chantres de la ville moderne en dépeignant une cité désenchantée. Ses désillusions l'invitent toutefois à raviver le génie de la poésie : en temps de crise, seul le langage lui permet d'ériger des mondes secondaires heureux parce que les autres tentatives de fuite vers un ailleurs joyeux (fêtes publiques ou carnavals privés) mènent à des impasses.