La restitution des oeuvres d'art

Hazan - EAN : 9782754103886
Didier Rykner,Corinne Hershkovitch
Édition papier

EAN : 9782754103886

Paru le : 31 juil. 2020

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  • EAN13 : 9782754103886
  • Réf. éditeur : 3871043
  • Collection : BEAUX-ARTS
  • Editeur : Hazan
  • Date Parution : 31 juil. 2020
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 136
  • Format : H:210 mm L:142 mm
  • Poids : 206gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : - La question de la restitution par les musées des biens culturels fait la Une quotidienne des journaux.

    La question du retour du patrimoine culturel est plus que jamais au centre de l’actualité. Il suffit de constater l’émotion suscitée, le 12 novembre 2010, par la décision du président de la République de restituer à la Corée (sous couvert d’un prêt renouvelable) 297 manuscrits royaux. La polémique fait rage. Violation du principe de l’inaliénabilité des collections nationales pour les uns, juste réparation à l’égard de pays victimes de la colonisation pour les autres... En attendant, les demandes se multiplient, en provenance de tous les continents ! À ce rythme, s’indignent les défenseurs d’un patrimoine universel, on peut prédire la disparition de musées comme celui du Quai Branly! Le débat n’est pas nouveau pourtant, ainsi que le rappelle ce livre. Congrès de Vienne aidant, certains des biens spoliés un peu partout en Europe par Napoléon ont dû retourner à leur propriétaire. À l’inverse, les marbres du Parthénon, démontés par lord Elgin en accord avec l’occupant ottoman, sont réclamés en vain par le gouvernement grec au British Museum. Mais la patience n’est plus de saison. Pour les pays s’estimant spoliés, aucun grand contrat commercial ou d’infrastructure qui ne soit précédé de demandes préalables de restitution de tel ou tel trésor du patrimoine. Aux critères du droit à la mémoire et au patrimoine du sol s’ajoute un devoir de respect de la personne : à l’égard des familles victimes de la Shoah, mais aussi, de manière plus anonyme, à l’égard des restes humains momifiés, nombreux dans nos musées d’anthropologie ou d’histoire naturelle. Envisageant tous les cas d’espèces, du point de vue du droit international et du droit des nations, cette enquête dresse l’état de la question.
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