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DEUX LETTRES SUR L'INDIVIDU, LA SOCIETE ET LA VERTU
1001 Nuits - EAN : 9782755506532
Édition papier
EAN : 9782755506532
Paru le : 21 mars 2012
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- EAN13 : 9782755506532
- Réf. éditeur : 4206942
- Collection : LA PETITE COLLE
- Editeur : 1001 Nuits
- Date Parution : 21 mars 2012
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 56
- Format : 0.00 x 10.50 x 15.00 cm
- Poids : 42gr
- Résumé : Le rousseauisme a nui à la réception de la philosophie de Jean-Jacques, qui avait une conception de l’homme et de la société plus nuancée que celle que lui a prêtée la postérité. C’est ce que nous dévoile admirablement deux lettres méconnues du Genevois qui résument très efficacement sa philosophie politique avant qu’il n’écrive Du contrat social et L’Émile. En 1755, il expose à un naturaliste suisse qui a pour nom de plume Philopolis (Lettre à Philopolis) les principes de vertu que requiert de tous les hommes l’état social, laborieux, forcément laborieux collectivement. En 1757, dans une lettre oubliée (Lettre sur la vertu), il revient sur le passage de l’état de nature à l’état social, et la transformation de la bonté naturelle en un nécessaire rapport à autrui. La vertu et le souci du commun ont une place centrale. On est bien loin de l’idée réductrice propagée ensuite par l’individualisme : la société, c’est mal !
- Biographie : Rousseau éprouve une ardente passion pour la comtesse Sophie d'Houdetot, femme mariée pour laquelle il ne pourra nourrir qu'un amour platonique. Il sublime la frustration de son désir en s'improvisant pour Sophie précepteur de vertu.