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EAN : 9782811218577
Paru le : 9 déc. 2016
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- EAN13 : 9782811218577
- Réf. éditeur : 6690551
- Collection : SLASH
- Date Parution : 9 déc. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 474
- Format : 2.20 x 11.00 x 17.80 cm
- Poids : 250gr
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Résumé :
« L’histoire de Wade et Nikki est passionnante à suivre. Un roman à découvrir ! » Les Chroniques d’Evenusia
« C’est chaud bouillant. J’ai été émue et je n’arrivais pas à le lâcher. » Boulevard des Passions
Le match le plus important de leur carrière ne se jouera pas sur le terrain…
Lorsqu’on est footballeur professionnel, ce n’est pas évident de protéger sa vie privée, et encore moins d’assumer son homosexualité au grand jour.
Ça, Wade Perkins l’a bien compris. Capitaine de l’équipe de Manchester, il se fait passer pour un coureur de jupons depuis des années, et ça lui a bien servi – c’est un excellent joueur, et il a la cote auprès des supporters. L’impossibilité de vivre une vraie histoire d’amour ? Il fait avec. En tout cas, c’était ce qu’il croyait, avant l’arrivée dans son équipe de Nikki, une nouvelle recrue. Entre lui et Wade, c’est l’attraction immédiate, mais quel genre de relation les deux hommes pourront-ils nouer sans que cela ne détruise leur carrière et leur vie… ?
Le mot de l’éditeur : Cette romance M/M sportive et torride est un best-seller en primo-numérique, et vient désormais enrichir le catalogue papier de Milady Slash !
« J’ai passé une bonne soirée avec lui, à picoler et à en apprendre plus sur ce qu’il sait du foot. Mais je ne suis pas certain d’avoir ingurgité la dose suffisante. Durant le laps de temps qu’il nous a fallu pour monter jusqu’ici, je n’ai cessé de m’imaginer cet instant, lui et moi dans notre chambre à l’abri des regards, où je pourrais le faire « basculer du côté obscur de la Force ».
Stop, Wade, stop...
Je retire mes baskets qui m’ont coûté un bras et m’assois comme une merde sur mon lit. Nikki, lui reste debout devant moi, il tente de retirer son tee-shirt, je le regarde s’emmêler les pinceaux.
Prenant pitié de mon coéquipier, je me lève, et m’approche de lui. Je n’ai plus assez de neurones pour réfléchir au fait que ce serait vraiment une grosse connerie de le toucher. Je le fais.
— Attends ! Attends ! Tu vas te casser la gueule !
Je pose mes mains sur le tee-shirt de Nikki, coincé au niveau de sa tête, il a zappé qu’il portait un polo et qui dit polo dit boutons. Je le lui repasse, Nikki me regarde. Ses yeux verts plongés dans les miens ont une lueur étrange, la même que lors du repas. En tremblant, je retire les trois boutons, et fais passer à nouveau sa tête pour qu’il retire son haut. Mes yeux restent braqués sur son torse musclé, celui que j’admire très souvent. Ce mec est à tomber et il n’a certainement pas totalement conscience de l’effet qu’il peut provoquer.
Je suis tout proche de lui lorsque je jette son polo au sol. Ça va dégénérer, mais tant pis, je ne pense à rien d’autre qu’à mon coéquipier vraiment trop bandant. Ma queue se durcit lorsque je sens son odeur mélangée à l’alcool, cette saloperie va me faire faire des conneries ! »