Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La Dernière fête
EAN : 9782823600742
Paru le : 13 févr. 2014
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782823600742
- Réf. éditeur : OLV132242
- Collection : OLIV. LIT.ET
- Editeur : Olivier
- Date Parution : 13 févr. 2014
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 304
- Format : H:1 mm L:1 mm E:1 mm
- Poids : 501gr
-
Résumé :
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Stéphane Roques
« Je voulais amener les gens qui m’écoutaient à comprendre qu’ils n’étaient pas seuls et qu’il était possible de changer les choses. »
De Jackson, Tennessee, au Madison Square Garden de New York où il chanta le morceau légendaire « The Revolution Will Not Be Televised », Gil Scott-Heron, musicien et écrivain noir américain, a toujours été un homme de combats. Il se confie pour la première fois dans ces mémoires aussi émouvants que drôles, rythmés par son phrasé vif et imagé qui inspira des générations d’artistes. Heureux hasards, coups d’audace, coups de sang… Gil Scott-Heron évoque son enfance mouvementée mais aussi ses rencontres avec Bob Marley, Michael Jackson ou encore Stevie Wonder, le « frère » qui l’embarqua dans une tournée épique en hommage à Martin Luther King.
Disparu en 2011, Gil Scott-Heron a laissé derrière lui, en un ultime opus littéraire, ces fragments d’une vie d’artiste et de citoyen engagé. Et il nous livre, à sa manière, une contre-histoire de la société américaine des années 1960 à 1990.
« OEuvre d’un véritable écrivain et magicien des mots, La Dernière Fête est aussi passionnant et indispensable que les Chroniques de Bob Dylan. »
The New York Times