Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
DERNIERS FEUX SUR SUNSET
EAN : 9782823605280
Paru le : 18 août 2016
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782823605280
- Réf. éditeur : OLV132330
- Collection : OLIV. LIT.ET
- Editeur : Olivier
- Date Parution : 18 août 2016
- Disponibilite : Provisoirement non disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 396
- Format : 0.10 x 0.10 x 0.10 cm
- Poids : 501gr
-
Résumé :
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marc Amfreville.
Nous sommes en 1937, et tout va mal pour Francis Scott Fitzgerald. Il est ruiné, miné par l’alcool, en panne d’inspiration, et Zelda, l’amour de sa vie, est internée dans un asile. Elle est loin l’époque où leur couple défrayait la chronique. L’Âge du Jazz est terminé, avec ses fêtes, son glamour, ses extravagances. Répondant à une proposition de la Metro Goldwyn Mayer, Fitzgerald joue sa dernière carte et débarque à Hollywood comme scénariste. Ses collègues se nomment Dorothy Parker, Ernest Hemingway, Humphrey Bogart. Dans une soirée, il croise la ravissante Sheilah Graham, une journaliste mondaine dont il tombe follement amoureux. Il se remet à écrire, s’efforce de ne plus boire, rend visite à Zelda avec sa fille Scottie.
Mais comment continuer à vivre quand le monde semble s’effriter autour de soi ? « Toute vie est un processus de démolition », avait-il écrit dans La Fêlure (1936). Quelques années plus tard, cette phrase sonne comme un avertissement du destin.Avec grâce et subtilité, Stewart O’Nan trace le portrait romanesque du plus attachant – parce que le plus fragile – des écrivains de la « Génération perdue » inventée jadis par Gertrude Stein.