CHRONIQUE DES JOURS FELES - 12 AVRIL - 31 MAI 2020

Regard - EAN : 9782841054039
FRYDMAN MONIQUE
Édition papier

EAN : 9782841054039

Paru le : 2 sept. 2021

34,00 € 32,23 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782841054039
  • Réf. éditeur : 767508
  • Editeur : Regard
  • Date Parution : 2 sept. 2021
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 186
  • Format : 2.70 x 24.30 x 30.90 cm
  • Poids : 1.41kg
  • Résumé : Durant le confinement, Monique Frydman, du 12 avril au 31 mai, dans le silence de son atelier, entreprend, jour après jour, une série de 129 monotypes, sur papier Japon, réunis dans cet ouvrage.

    Durant le confinement, Monique Frydman, du 12 avril au 31 mai, dans le silence de son atelier, entreprend, jour après jour, une série de 129 monotypes, sur papier Japon, réunis dans cet ouvrage.

    De petits formats, 15 x 21 cm, ils révèlent toute l'intensité, la profondeur, la polysémie d'une œuvre tout à la fois matérielle et immatérielle.

    Comme dans son œuvre peint, Monique Frydman, à l'instar des peintres qui l'intéressent, Joan Mitchell, Gauguin, Matisse... s'immerge dans la couleur qui selon l'humeur des jours, passe des verts foncés, aux verts éclairés de mauves, de bleu ou de jaune, aux teintes plus vives, tel le rouge, le rose et l'orange.

    Des couleurs, des lumières, des émotions, dans lesquelles s'expriment la sensualité de l'artiste. Abstraction jubilatoire de la couleur. Un exercice de répétition et de renouvellement, à la fois temporel et géographique, dans lequel seule la main est maîtresse, guidée par le sentiment de l'instant.

    Des monotypes, qui tous parlent du confinement. Écoutons Monique Frydman : " Mars. Impossibilité de peindre. Je suis de nouveau taraudée par la lancinante question de l'œuvre d'art face à la violence de la réalité. (...) 26 avril. Violets, verts, jaune absinthe..., les couleurs des feuillages, de la nature. Parfums inouïs ! Comment ressentir de la jouissance, de l'ivresse, alors que... (...) 3 mai. Je recommence à voir, à ressentir, mes œuvres me redonnent de la force.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.