Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Parlons peu, parlons de moi
Le Dilettante - EAN : 9782842638924
Édition papier
EAN : 9782842638924
Paru le : 8 mars 2017
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782842638924
- Réf. éditeur : 805348
- Editeur : Le Dilettante
- Date Parution : 8 mars 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 288
- Format : H:206 mm L:142 mm E:23 mm
- Poids : 367gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Au français, il manque un mot, un verbe pour être exact?: «?se berroyer?», «?je me berroie, tu te berroies, etc.?» Sens?: parler de soi avec une tendresse rosse, un cynisme feint, sans narcissisme excessif et avec un goût certain pour l'autoportrait bichonné. Origine du mot?: l'écrivain, acteur et journaliste français Jackie Berroyer né à Reims en 1946. Soi est un sujet que Jackie Berroyer connaît comme sa poche. Il nous parle de lui comme un instituteur de son cancre préféré, impitoyable et émotif, la taloche caressante, précis et attentif. Parlons peu, parlons de moi, son deuxième livre au Dilettante, regroupe les chroniques données principalement à la revue suisse Vibrations (LA revue suisse sur la musique dans tous ses états), chroniques qu'il assortit d'exégèses attendries et distanciées. Comme dans ses proses il parle souvent de lui, j'entends déjà les commentaires?: ah oui, du tout-à-l'ego sans passer par la case filtrage, irrespirable. Eh bien, non, car Berroyer berroie. D'abord, il nous parle des autres avec des larmes dans la plume ou des sourires plein la phrase?: de Miles Davis souvent, sinon un peu de Miles Davis, parfois de Miles Davis, mais la plupart du temps des jazzmen et des soulwomen (dont la femme de Miles Davis), de Grant Green et de mille milliards d'autres musicos, de ses girlfriends passées, présentes et à venir, des potes de toujours et d'Emmanuel Lévinas et de Rory Gallagher, cite Corbière et Michel Serrault. Bref, «?berroyer?», c'est parler de soi pour mieux aimer les autres, s'aimer soi pour mieux parler des autres. Le genre de livre bouée qu'on rouvre à chaque tangage, au moindre coup de bleu. Vive les berroyeurs?!